iii.04 - Wrong Side of Heaven

Maximilien argent, un vampire qu’il était. Le simple vampire. Il n’avait pas vraiment eut beaucoup de chose à faire dans les dernières centaines années. Sauf peut être une ou deux choses que le vampire à eu la chance d’apprendre bien des choses auprès d’un certain démon. Ce démon était tout particulièrement unique. Car MAximilien savait très bien ce qui allait ce passer. L’apocalypse était présentement en cours et le jeune homme savait très bien ce que cela voulait dire et les rumeurs couraient que Lucifer était de retour. Ce que Maximilien n’aimait pas entendre. Cependant, il avait entendu que les quatres Cavaliers étaient de retour.

Enfin, ils n’étaient pas de retour, car il y a de cela bien longtemps Maximilien en avait ‘’rencontrer’’ un. La Peste. Max ne se souvenait plus vraiment de la date exacte, mais il savait que c’était à Paris dans un certain hôpital. Oui. Cet homme qu’il avait rencontrer, un démon. Ce démon était en fait un cavalier qui lui avait avouer d’une certaine manière ce qu’il était, néanmoins, Max avait reçu une certaine mencace de sa part. Une menace simple comme bonjour. Il se souvenait exactement de ses nombreuses paroles. < Si je n’entends qu’un début de rumeur sur le fait que tu m’as vendu à un chasseur, j’arracherai ta jolie petite tête de vampire, on se combrend bien ? > Oui, en effet, le simple vampire avait pris cette menace au sérieux pour la simple et bonne raison qu’il ne connaissait pas de chasseur à cette époque. Surtout en 1889. Ah oui la voilà la simple date. 1889 à Paris.

Il se souvenait de la conversation avec lui. Surtout du fait qu’il avait dis à Maximilien que les cavaliers étaient toujours sur terre avec une portion de leur pouvoir et aussi attendait simplement que l’apocalypse arrive pour être avec leur plain pouvoir. Une bonne chose selon lui. Il lui avait appris simplement à faire deux ou trois choses. En fait c’était deux choses. Disséquer des corps. Utiles dans les dernières décénnies ainsi que cacher les morsures qu’il faisait aux humains. Il fallait bien ne laisser aucune trace de son passage.

Maximilien avait été attiré par Huntfield. Non pas par la ville, même si cette ville était simplement magnifique. Il préférait Paris.  Une ville simplement magnifique. Unique en son genre. Maximilien avait simplement rencontrer une autre des siens il y a de cela quelques semaines ou bien quelque jour, il ne savait plus trop. Cependant, car le vieux vampire se retrouvait simplement à l’hôpital de Huntfield. Que faisait-il là ? Simplement ce qu’il faisait de mieux, il prenait du sang de ceux qui le voulait. De ceux qui étaient prêt à mourir. Mais bon. Cela va de soit, car il venait de sentir une odeure. Une odeure qu’il n’avait pas sentit pour plusieurs années. Il se relevait après avoir prit un peut de sang et fait ce qu’il avait à faire pour ne pas laisser apparaître sa morsure. Dans le couloir de l’hôpital il regardait droit devant lui et… Il était là l’homme qu’il avait rencontré en 1889 et quelques années après.

Maximilien était un vampire de 300 ans. Un vampire de cet âge était vieux et avait en lui de l’expérience. L’expérience de voir les choses différements. L’expérience de ce monde de fou. Il avait été transformé par une vampire qui voulait faire de lui son mari. Maximilien avait simplement refuser l’offre. Une simple offre pour en prendre une autre quelques années après. Notre vampire était quand même heureux de le voir. Une nouvelle fois encore et surtout en ce jour de paradis sur terre. Le campire n’était pas comme les autres en ce moment. Il se demandait vraiment quoi faire en ce moment. Il y avait tant de chose à faire dans sa vie. Tant d’aventure dans son futur. Que sa longue vie ne ménerait à rien. Maximilien avait une certaine réputation à garder, dans le fin fond du monde criminel. Mais bon.

Maximilien le regardait là. Il était venu vers lui et Maximilien était simplement une bonne personne. La reconnaissance que Max avait envers lui était immence. D’autre part, le vampire se demandait vraiment ce qui allait se passer. Son mentor venait de lui demander s’il l’avait reconnu et monsieur Max souriait un long moment. Un très long moment. Un trop long moment d’ailleur. Une bonne erreure, mias bon il s’en foutait un peut trop d’ailleur. L’homme avait quelque chose en tête et il se demandait vraiment comment mettre ses talents en valeurs.

- Je peux te reconnaître d’un 1 killomètre. –

Maximilien et les odeures ne faisaient qu’un, car les vampires reconnaissaient les odeures qu’ils avaient déjà sentis. L’homme se demandait vraiment ce qu’il allait faire en ce moment. Maximilien le suivait dans son bureau. Le vampire le suivait jusque dans son bureau. S’assoyant du côté des patients. Comme s’il avait vraiment besoin de soins. Il était quand même un vampire. Il n’avait naturellement pas besoin d’aide cet homme de fou.

- Alors, cela fait quelques années que nous nous sommes pas vu. Je n’aurais jamais mis les pieds dans cette ville si l’apocalypse n’avait pas été mis en place. -

Maximilien disait cela réellement sans vraiment penser à ce qu’il disait, car non seulement l’homme était un vampire, mais aussi il disait des choses sans vraiment y penser. Non seulement, Maximilien se demandait vraiment ce qui allait ce passé dans les prochaines secones, même minute.

J'avais que peu de doutes quand au fait que mon petit protégé allait me reconnaître. Après tout, il était un vampire. Il est vrai que les mortels ne voyaient jamais la différence entre un démon, un ange ou une créature, c'était même pathétique! Mais les vampires étaient réputés pour avoir un odorat hors du commun. Vraiment, lorsqu'un membre de cet espèce avait sentie une odeur, surtout une odeur aussi particulière que celle d'un cavalier de l'Apocalypse, il ne l'oubliait jamais. Ils étaient vraiment des pisteurs hors du commun. C'était plutôt pour la formalité que j'avais demandé au petit s'il me reconnaissait. Cela faisait un peu de discussion aussi, il fallait bien commencer en quelque part. Parlant de discussion, afin de continuer à bavarder tranquillement, j'avais proposé de nous rendre dans mon bureau. Là-bas, nous ne serions pas dérangés. Personne ne venait me voir à moins d'avoir un rendez-vous et que j'accepte d'ouvrir ma porte. C'était vraiment bien d'être médecin en fait. Les gens vous respectaient parce que vous aviez fait de hautes études et parce que vous gagniez beaucoup d'argent. Certes, ce n'était pas vraiment mon cas, mais j'en avais l'apparence, c'était ça l'important non? Nous nous dirigeons donc dans mon bureau et je m'effaçai pour laisser passer le vampire et le laisser entrer. D'instinct, il alla s'asseoir sur le siège généralement réservé à mes patients. Bien, je souhaitais aussi m'asseoir et donc, je voulais ma place, c'était parfaitement logique quand on y pensait.

- Ouais, cette ville n'est pas vraiment ce qu'on peut appeler la ville à visiter aux États-Unis. Elle n'a un véritable attrait que parce que Lucifer s'y trouve.

C'est vrai quoi, je ne serais sûrement pas venu ici si je n'y avais pas été appelé. Lucifer nous avait convoqué, mes frères et moi, depuis, j'errais un peu afin de m'amuser et tenter de créer la maladie parfaite pour l'Apocalypse. C'était un événement qui valait la peine que je me creuse la cervelle pour faire quelque chose d'exceptionnel. J'approchais tranquillement du but, sans l'atteindre par contre, malheureusement. J'avais encore du temps devant moi, mais je ne voulais pas trop laisser ça traîner. La patience de Lucifer pouvait avoir ses limites!

- Tu viens donc mettre la main à la pâte pour détruire ce monde?

Maximilien c’était assis devant son mentor et ami. Un homme bon et très peu corruptible. La corruption était partout dans le monde. Un monde de fou et de simplicité. Non, ce monde de fou et de simplicité n’était plus vraiment de ce monde. Un monde qui était devenu un peu fou dans sa longue et misérable vie. Le vampire était un homme bon et unique. Le vampire se rappelait des jours simples. Des jours où il pouvait simplement voler sans demander. Voler sans qu’il se fasse réprimander. Aujourd’hui, il devait faire attention. Attention à tous ses gestes et il n’aimait pas faire attention pour plusieurs raisons. Cela lui donnait une longue et unique opportunité.

Malheureusement, il ne pouvait pas faire grand-chose. Il y avait beaucoup de chose que notre vampire aimait faire sans vraiment que personne le sache. Volé de l’argent, beaucoup d’argent. Le problème de nos jours était simplement qu’il ne pouvait pas faire grand-chose. Tout l’argent qu’il avait obtenu avait maintenant fait beaucoup d’argent. Le chasseur ne savait pas trop comment faire pour prendre une bonne décision.

Le vampire avait en face de lui un homme qu’il connaissait depuis un long moment. Un long moment était plusieurs années pour Maximilien quelques centaines d’années. Non, une centaine et quelques années de plus. On ne savait jamais vraiment ce qui ce pouvait passer. Il était assis devant La Peste, qui était un cavalier de l’apocalypse. Il y avait bien des choses en ce monde que e vampire était prêt à faire. Mais détruire le monde n’était pas vraiment une option.

En effet, cette ville n’avait qu’un attrait parce que Lucifer était ici. Donc, Maximilien savait donc que monsieur avait ses pleins pouvoirs. Des pouvoirs que Maximilien ne pouvait pas commencer à imaginer. Maximilien avait besoin de travail. Il avait besoin que son mentor lui donne du travail à faire.

-Il est temps de me mettre au travail. Je crois avoir attendu trop longtemps.-

Maximilien ne faisait qu’être assis devant un homme qu’il appréciait grandement. Un homme qui l’avait aidé il y avait de cela très longtemps. Trop longtemps. Il y avait tant de chose que le vampire connaissait et tellement qu’il ne connaissait pas. Il y avait beaucoup de chose qu’il ne savait pas quoi faire. Des choses que monsieur Argent ne savait pas, il les apprenait rapidement très rapidement. Trop rapidement selon certaine personne. Notre Maximilien n’était pas un vampire parfait. Les être parfait n’existaient pas dans la vie. C’était impossible. Il y avait beaucoup de personne qui pensait que les anges étaient parfaits. Mais les anges n’étaient aucunement parfaits selon maximilien. Car Il y avait plein de choses dans la vie que les anges ne comprenaient pas. C’était quelque chose à voir avec le fait que les humains pouvaient ressentir émotion et douleur. Chose que les anges ne pouvaient pas.

Notre ami était un médecin. Un médecin spécial. Un médecin pas comme les autres. Un médecin était un homme ou une femme qui aidait les gens Dans le besoin. Rien de plus, rien de moins. Notre homme assis devant Max était bel et bien un médecin. Il était aussi un cavalier de l’apocalypse. L’un des quatre. La Peste. Max le savait très bien néanmoins, notre interlocuteur ne l’avait jamais avoué à voix haute, mais cela ne changeait pas grand-chose à la longue et misérable vie de notre vampire. Notre vampire était un bon petit vampire avec des buts dans la vie.

Un Gamin ? Non, cela ne dérangeait pas de se faire appeler un simple gamin, car cela ne changeait pas grand-chose. Comparé au cavalier, Max n’était qu’un poupon, mais prenait-il offense ? Non, pas vraiment. Il s’en foutait un peu. Un peu trop d’ailleurs. Max avait même un sourire sur les lèvres. Des lèvres qui n’avaient pas tellement faim. Faim ? Non, soif. Oui, il n’avait pas soif.

ET c’était maintenant que son mentor lui offrait à boire. Boire du sang et tout le tralala. Et bien, il ne savait pas trop comment répondre. Il y avait de quoi répondre, mais il ne savait pas trop. Il avait besoin de se mettre au travail. Mais il ne pouvait pas non plus refuser une offre. Une offre si appétissante que Maximilien, même s’il n’avait pas soif. Il se devait d’accepter…

-Cela ne serait pas de refus, dire que j’ai un petit creu.-