Serena Donnelly - Saison 4

Tu veux me connaitre ? Très bien ! Je suis Serena L. Donnelly. Je suis né(e) le 30 septembre 1988 ce qui me fait 22 ans années. Je suis originaire de New York, ce qui fait de moi un(e) Américaine. Actuellement, je suis en couple, avec Lucy Keynes, et j'assume maintenant.. J'exerce le métier de Médecin ou presque. et ça me convient pour le moment. Je fais partie du groupe We are the Protected,  quant à mon alignement, je suis du côté Opposant.

Mon personnage est Inventé. Comme je suis quelqu'un de brave, je crédit l'image de ma présentation, celle-ci à été réalisé par crédit.

Eum… comment définir Serena. Elle est une jeune femme enjouée lorsqu’il y a de l’action autour d’elle. Elle peut même être trop enjouée dans certain cas. Elle s’excite dès que ça commence à chauffer et adore lorsqu’il y a de l’action dans l’air. Elle a des tendances sadiques et aussi violentes. Ont-ils été développés dans l’enfance ou à l’adolescence? Personne ne le saura jamais. Elle est une véritable tête-brûlée et préfère agir que réfléchir. Elle reste toujours en mouvement et surtout sur ses gardes en tout temps. Elle est insultante et adore s’amuser au détriment des autres. Lorsqu’elle parle, elle est évasive et floue, elle n’est pas très fréquentable et ne parle que très rarement aux autres. Elle se fiche royalement des autres et de ce qu’il pense. Elle est bornée et enflammée. Lorsqu’elle commence à s’ennuyer, elle commence à rager telle une lionne en cage. Elle éprouve un besoin flagrant d’avoir du plaisir et de l’adrénaline tous les jours. Serena, sous ses airs de femme froide et distante n’est pas une méchante fille, elle est simplement incomprise. Rajouter à cela qu’elle a de forte réaction lorsqu’on la touche ou tente de la séduire, chose qu’elle déteste. On obtient une véritable bombe à retardement.

Serena est une magnifique jeune fille au regard pénétrant. Elle a le teint qui varie selon les saisons, légèrement foncé l’été et plus pâle l’hiver. Elle a les yeux marron, ce qui ne l’empêche pas d’avoir un regard perçant, presque envoutant. Elle a de magnifiques cheveux marron foncés, presque noir. Elle les garde frisée ou vagué ne mettant aucun effort pour les coiffer. Elle apprécie tous les styles vestimentaires appréciant généralement ce qui passe inaperçu, ça vous étonne? Vu son bagage et son histoire, c’est logique. Elle était une jeune fille nullement complexé et même très « garçon », préférant taper dans des ballons… et des mecs que de jouer à la poupée. Elle possède donc un physique très sportif et quelques cicatrices de sa jeunesse. Elle ne garde aucun signe distinctif, n’y même de nom si possible, elle préfère simplement passer inaperçu. Ce qui est un peu difficile puisque son physique est avantageux et que sa personnalité... ce remarque facilement.

Serena passa son enfance entre une mère cavaleuse et un père invisible. Son père était … elle en savait rien. Sa mère n’avait pas pris la peine de le mettre sur le certificat de naissance. Par la suite, elle disait simplement à sa fille qu’il était sur la route, quelque part, nous passerons donc rapidement sur le sujet. Puisqu’il y a peu à en dire. Son père n’était pas vraiment invisible, juste inexistant, comme si une mère pouvait concevoir un bébé toute seule. Bon d’accord, plus tard, elle comprit que sa mère et son père devait ne même pas se connaitre et qu’ils ne se souvenaient plus l’un de l’autre. Il avait surement juste fait une petite bêtise et hop, neuf mois plus tard, un petit bébé tout neuf. Le problème, c’était que le papa était déjà loin.

Serena passa donc son enfance cachée dans un placard pendant que sa mère… travaillait. Oui, son père n’avait pas choisi exactement la bonne femme pour lui faire un enfant. Il avait peut-être même payé pour ça, comme les autres… Bref.

Pour les besoins de la cause, disons simplement que sa mère réussissait à réaliser des fantasmes masculins en tout genre et qu’elle était payée pour ça. Oui, sa mère avait des tendances à… être désirable. Que voulez-vous c’était de famille. Elle vécut donc toute sa vie avec cette mère, une mère qu’elle n’avait pas choisie, mais que pouvait-elle s’offrir de plus hein? Serena avait dû faire quelque chose de mal, de très mal dans son ancienne vie pour mériter ça.

Elle était donc habituée à rester isolée du reste du monde par peur du jugement. Elle et sa mère passèrent toujours moins d’une année dans chaque appartement loué, chaque fois c’était la même chose. Sa mère faisait toujours quelque chose pour nuire à leurs stabilités. La mère de Serena ne put jamais garder un homme, se laissant battre pour un peu de chaleur ou se faisant jeter à cause de son passé, qui redevenait son présent par la suite. Qui voudrait marier ce genre de femme de toute façon? Serena vécu dans un monde de drogue et de violence gratuite. Pour elle, dès son enfance, elle vécut avec l’image de l’alcool, le sexe, la drogue et la violence coulant à flot… Comment croyez-vous qu’elle est devenue ce qu’elle est? En jouant aux échecs sagement dans une villa sereine d’un cartier bon chic bon genre peut-être? Oh non, jamais elle n’aurait pu envisager ce genre de vie pour elle. Elle était le fruit d’une union ratée… Totalement raté en fait. En fait, il n’y avait même pas eu d’union du tout, juste du sexe, brut et surement laid. Parce qu’au final, le sexe… c’était laid. Ça ne pouvait pas en être autrement. Parfois, elle pouvait imaginer le père qu’elle n’avait jamais connu. Elle savait qu’il était vivant, mais rien de plus. Il était peut-être riche, peut-être un drogué voleur de voiture… Peut-être qu’il était bon, peut-être qu’il était mauvais. Peut-être qu’il était misogyne, mais peut-être qu’il aimait les femmes. Elle n’en savait rien et maintenant, cela l’importait peu. Elle n’était rien pour lui, alors il ne serait rien pour elle. L’amour c’était donnant donnant et elle n’en reçu pas. Alors… elle n’allait pas en donner.

Elle vécut l’entré à l’école comme une délivrance. Rien à voir avec les jeunes tristes de quitter la maison. Elle était ravie de trouver dans cette bâtisse un peu sombre et sérieusement vandaliser, une première maison. S’il y avait bien une chose que sa mère respectait, c’était l’assiduité de Serena à aller en cours, surtout qu’elle avait la paix pendant ce temps. Même malade comme un chien, elle trainait sa carcasse sur les bancs d’écoles. Notre petite Serena fut rapidement dans les premières de classes, elle ne s’appliquait pas vraiment, mais elle n’avait rien de mieux à faire. Elle n’avait pas beaucoup d’amis, mais sincèrement elle s’en fichait. Elle n’en voulait pas, elle allait finir par déménager de toute façon ou pire… elles voudraient venir à la maison… Cette maison… et voir cette… mère. Non, pas d’amis, les amis c’était encombrant.

Durant sa première année d’école, une chose assez banale arriva. Sa mère oublia de venir la chercher à l’école après une reprise de travaux. Serena, avait eu beau attendre… personne. Serena proposa à son professeur de marcher jusqu’à chez elle, elle en était capable. La femme ne voulait pas. Comment faire alors? Sa professeur la fit attendre et fit des téléphones, elle ne savait pas où était sa mère, mais si elle continuait d’être inexistante… Serena allait encore être placé pour le week-end. Un homme passa finalement la prendre. Il fit comme s’il l’a connaissait et Serena joua le jeu, mais fut très méfiante des que sa professeure ne fut plus là. Elle ne le connaissait pas, pourquoi le suivre. Elle le remercia et voulu partir seule, mais il l’a gagna en lui disant simplement « Je suis un ami de ton père. » Tout de suite, elle fut intéressée. C’était surement mal quelque part. Elle passa donc le week end avec cet homme, le temps que sa mère revienne de… quelque part. Il l’amena dans une espèce de chalet, sans télé, un peu vide quand même. Il lui fit découvrir plein de choses très drôle, comme à tirer avec des armes diverses, ce qui était très intéressant. L’arc, l’arbalète… après beaucoup d’effort pour être mignonne et gentille, il lui laissa même une arme à feu! Une vraie là! C’était génial. Elle avait dû mettre des écouteurs anti-son et il avait dû faire comme pour le reste et l’aider, mais… elle adorait ça. Elle fut presque déçue de repartir à la maison. De retrouver son épave de mère, mais maintenant… Serena avait un secret. Elle voulait en savoir plus sur les armes. C’était si drôle. Elle était nulle avec, mais elle pouvait apprendre, non?

Vers c’est 6 ans, elle vola des sous à sa mère pour se payer des cours de karaté, faisant croire à sa mère que c’était gratuit, ou qu’une amie avait payé le cours pour elle. Parfois, c'était l'ami de son père qui lui en payait, c'était toujours bien quand sa venait de lui. Puis elle renouvela l’expérience chaque année sans vraiment s’attacher à un sport en particulier. Elle y allait selon le moins cher, donc karaté, boxe et cours d’auto-défense y passa avec les années. Elle aimait de tout, surtout quand sa lui permettait de frapper et de se défendre. Dans sa situation, tout pouvait toujours servir. Elle adorait se battre, c’était un soulagement. Un peu comme un médicament à rabais, mais très puissant. Elle pouvait gérer ses propres blessures psychiques en tapant sur un autre, c’était… satisfaisant, surtout s’il le méritait. En plus, elle trouva une façon de poursuivre des cours de tir à l’arc. Parfois, à son anniversaire ou à Noël, elle trouvait un nouveau jouet dans sa chambre, mais Serena savait que ça ne pouvait pas venir de sa mère. Parfois, c’était un couteau, une autre fois un arc, elle avait eu droit à une arbalète, des couteaux de lancer… Elle se doutait que sa venait de l’homme de son enfance, mais… qui était assez bizarre pour apprendre ça a une gamine? En même temps… elle adorait ça. Sinon, l’autre truc… c’était de prendre l’argent avant sa mère. Elle gagnait beaucoup, juste qu’elle le dépensait mal. En grandissant, elle s’améliorait avec tout ce qui demandait de la dextérité, au grand déplaisir de sa mère. En même temps… personne n’était là pour l’empêcher de faire quoique ce soit… si elle avait envie de balancer des couteaux dans son mur… c’était son droit. En plus… on n’embêtait pas une fille avec un couteau. Surtout pas Serena avec un couteau.

Vers ses 14 ans, tout changea… si on veut. Ce qui arrivait à la plupart des prostitués des quartiers malfamés arriva, sa mère fut assassinée. Sa mère était dans une mare de sang, rien de moins. Elle avait eu du mal à reconnaître les traits de sa mère. Bien sûr, la première chose que ressenti Serena fut le désarroi. Pas de la peine, n’y même de la colère. Elle était juste… amère que sa mère n’ait pas attendu quelques années, le temps que la petite Serena soit majeure. Vous vouliez quelle fasse quoi? Elle dû appeler la police pour qu’on la débarrasse du corps, mais en même temps… elle prit une heure, le temps de déplacer les choses qu’elle tenait vers un petit casier d’entreposage non loin de son école. Pas question de perdre les choses auxquelles elle tenait sous prétexte que sa mère avait été assez conne pour se faire tuer. Surtout quand on pensait que Serena n’avait pas beaucoup de choix, pas de père, plus de mère, aucune famille… Elle eut donc droit à une famille d’accueil. Plusieurs en fait.

La première était surement très bien si Serena c’était donné la peine de l’apprécier. Serena n’avait pas envie de s’investir et n’avait pas envie qu’on l’aime. Pas après sa mère, pas après tout ça. Elle vola ses nouveaux « parents ». Ne restait pas à la table, mangeait dans sa chambre et s’isolait. Il finir par choisir un enfant moins brisé. Tant mieux pour elle. Elle retourna finalement en centre. Au milieu de la semaine d’après, elle rencontra la famille numéro deux.

Pour la famille deux tous allaient bien. Elle était bien. C’était déjà mieux que rien. Elle ne faisait plus confiance, n’y aux hommes, n’y aux femmes, mais c’était récurent en fait. Dans cette famille, ils avaient un fils un peu plus vieux. Il était gentil, un peu renfermer, mais sportif. Il était gentil, elle l’appréciait quand même, ce qui facilitait son insertion dans la famille. Sa travailleuse sociale avait de l’espoir.Elle fit près d’un an dans cette famille, restant tout de même éloigner d’eux pour éviter les conflits, mais pas trop. Tout ce qu’elle demandait, c’était d’atteindre sa majorité. Pendant la nuit, elle entendit du bruit dans sa chambre, ce qui l’a réveilla. Pas le choix, elle n’aimait pas vraiment le noir, alors les bruits la faisait sursauter. Quand elle ouvrit les yeux, c’est le fils qu’elle vit. Il lui expliqua gentiment qu’il n’arrivait pas à dormir et vint s’assoir avec elle. Ils discutèrent, elle l’appréciait bien dans un contexte familiale, mais Serena était jolie. C’était un problème. Après plus d’une heure de conversation, il tenta de l’embrasser, elle s’éloigna poliment, mais elle ne savait pas comment réagir, elle ne voulait pas lui faire de mal. Il se rapprocha encore. Elle s’éloigna encore, le repoussa doucement, tenta de lui expliquer, mais elle n’était surement pas très clair, parce qu’il continua. Il commença à devenir menaçant pour elle, mais surtout insistant. Elle attendit qu’il soit sur elle, il était plus fort qu’elle de toute façon. Elle se mordait la lèvre pour ne pas faire un mouvement non-réfléchit. Lorsque l’image était bien installée, qu’il n’y avait aucun doute sur ce qui se passait. Elle cria. Elle passa ses jambes derrières les genoux du garçon pour qu’il ne puisse pas s’enlever et les parents entrèrent dans la chambre. C’était sans équivoque, il était sur elle, elle se débattait. Quand il voulut se relever, elle lui cassa le nez d’un coup de tête. Elle le regrettait un peu, elle aurait dû être plus clair avec lui dès le début. Alors… elle serait toujours clair maintenant, elle n’aimait pas qu’on la touche, jamais.

Elle devint alors froide et calculatrice, elle continuait l’école, mais avec tous les changements, elle n’y arriva pas. Son assistante sociale ne savait plus vraiment quoi faire d’elle. Elle n’était pas heureuse. Elle grandit simplement sans foyer, sans attaches, volant pour manger des sucreries, pour s’habiller... pour exister un peu plus que ce que le centre pour enfant lui offrait. Restant enfermé dans un stupide centre avec une trentaine de fille. Elle allait toujours à la même école… elle était obligé d’y retourner. Elle ne changea pas d’avis pour autant, pour elle, une bonne personne était une personne loin, très loin. Elle n’était pas du genre à fréquenter des garçons, comme des filles. Elle n’aimait plus rien, ne voulait rien. Elle continua l’école tranquillement, choisissant une université bien loin de tout, sa vie c’était stabiliser. Elle était bien. Bon d’accord, seule, mais bien, vraiment. Heureuse même, on lui offrit une bourse d’excellence grâce à ses notes qui étaient redevenues comme avant.

Elle fit transférer son dossier dans une petite ville qu’on disait hanté, elle avait eu un conflit avec une fille de son dortoir et refusait de rester dans ce centre une minute de plus. En prime, l’université de cette ville semblait très bien. Une ville fantôme… c’était cool quand on y pensait. Elle allait donc poursuivre sa vie de jeune adulte à Huntfield. Rester à New York… elle aurait tué la fille dans son dortoir. Elle avait fait  la demande de ne pas avoir de nouvelles familles d’accueil. Elle avait déjà 19ans à l’époque, elle ne voulait plus revivre tout ça. Elle entendit parler d’émancipation. Elle signa le papier le matin même, et 2 mois plus tard, juste avant sa rentrée à l’université elle avait droit à une nouvelle vie. Une nouvelle vie calme et paisible pour notre jeune fille.

Serena venait tout juste d’emménager dans un petit deux pièces et demi à Huntfield. Elle se considérait toujours comme électrons libre malgré son jeune âge. Elle était sortie du système et sa lui faisait un bien fou. Elle avait réussi finalement à convaincre les services sociaux qu’elle pouvait s’occuper d’elle-même, surtout avec ses 20 ans, mais elle avait quelques restrictions : Elle devait avoir un lieu ou vivre, elle devait s’inscrire à l’université (et y maintenir de bonne note) et elle devait se trouver un boulot pour survivre. C’était très jouable. Elle avait donc un petit appartement, elle travaillait dans un bistro non loin de là et s’inscrivit en médecine à l’université D’Huntfield. Tout allait changer. Elle commença ses cours simplement, ne se faisant pas trop remarqué si possible, mais avec la tête qu’elle avait c’était difficile, heureusement qu’elle était froide comme un glaçon.En même temps, elle n’était pas désagréable pour les professeurs, elle était brillante et à son affaire. C’était avec les autres personnes de son âge qu’il y avait un… blocage. Malgré son physique, elle n’avait jamais eu de réel petit ami et elle n’allait pas commencer de sitôt. Elle n’avait jamais reçu de nouveau cadeau de la part de l’homme. Pas depuis que sa mère était morte, mais… elle continuait d’espérer un peu quand même.

-Saison 2-
En ce moment, la vie de Serena est calme et sans vague. Elle étudie dans un domaine qu'elle aime et s'épanouie tranquillement. Avec de la chance, rien de viendra perturber son avenir. Le problème, c'est qu'elle n'a pas de chance. Elle a fait des rencontres... intéressantes. Il y avait maintenant Percy dans sa vie, elle avait même des sentiments pour lui, une première pour elle dans le domaine des interactions sociales. Le seul problème, c’est qu’il se disait être un démon. Elle a vite déchanté quand elle sut qu’il disait vrai. Elle plongea ensuite dans un nouvel univers, celui du surnaturel. Rien dans la vie ne l’avait préparé à ça, sauf peut-être son amour pour les armes, pour la défense et son fort caractère. Elle aurait pu bien supporter tout ça si Percy n’aurait pas été tué par un autre démon décidant de l’adopter. Elle est maintenant prise entre deux feux, celui du bien et du mal. Travaillant avec un chasseur du nom de Lucy pour rester du côté du « bien », mais… rien n’est sûr pour elle. Elle a trouvé son juste milieu, un ami du nom de Logan, qu’elle apprécie beaucoup. Elle est à couteau tiré avec son nouveau « propriétaire » Méphistophélès et elle ressent de plus en plus le besoin d’être protéger par Phoenix. Manque juste d’apprendre à se défendre toute seule et sérieusement, l’amour… plus jamais, ce n’est franchement pas pour elle.

-Saison 3-

Serena a vu Percy se faire tuer sous ses yeux, se sentant d'abord perdu, elle réalise que ce n'est peut-être pas si mauvais finalement. Le seul problème étant qu'elle appartient maintenant à Méphistophélès et avec lui, tout semble beaucoup plus compliqué. Heureusement pour la gamine, deux êtres dans sa vie commence à faire une différence. Logan, un homme qu'elle a rencontré par hasard, à toujours le mot qu'il faut pour l'aider et Lucy, le chasseur joueur, qui lui rappelle qu'avoir une vie, c'est plus que simplement les études et la survie. Son internat va bien, mais elle a tout de même l'impression d'attirer le surnaturel sans le vouloir.

Comment résumer les trois derniers mois de Serena. Tout d'abord, il y a Lucy, surement le point central de sa vie, même s'il ne le sait pas et c'est tant mieux comme ça, il pourrait se faire des idées. Ouais, malgré ce que les gens en pensent, ils ne sont que des amis. Sinon, il y a Logan avec qui elle travail toujours un peu plus à se connaitre. Elle sait fait une nouvelle amie, Jessica, elle est agréable et adorable. Meph est mort, mais existe toujours dans le cercle d'ami de la gamine sans qu'elle le sache. Elle a maintenant trois anges: Manakel, son ange préféré qui a choisit de l'aider ; Diana, l'ange qui l'a surveille pour le bien de Lucy et Séraphine, sont propres anges gardiens, mais... pas très douée. Elle se fait enseigner le surnaturel par Lou, toujours en théorie, à croire qu'elle ne sera jamais assez grande pour chasser d'elle-même.

Serena commence à contrôler de plus en plus le côté "surnaturelle" de sa vie. Elle est heureuse et s'épanouie lentement, mais surement. Un soir qu'elle dormait avec Lucy, elle rencontre Brian, le cousin de se dernier et il lui fait une drôle de révélation. C'est lui le mec de son enfance, c'est donc grâce à lui qu'elle aime autant se battre et elle l'en remercie. Elle voit de plus en plus Lucy et en redemande. Quand elle est malade, Lucy prend soin d'elle et quand elle lui demande (supplie) d'aller chasser avec lui, il accepte de peine et de misère. Le seul problème dans tout ça... c'est que ça a mal tourné, que c'est devenu dangereux, qu'après coup Lucy a paniqué et... hm... elle ne s'attendait pas à ce genre de fin. Elle ne sait donc absolument pas comment réagir, ni sur quel pied dansé, mais... elle apprécie la tournure des événements en fait...

En ce moment, la vie de Serena est parfaite. Bien sûr, des démons et autres trucs par-ci, par-là, mais rien de dérangeant. Elle a maintenant une véritable relation avec Lou et l'assume un peu plus. Elle s'inquiète quand il part en chasse, mais elle n'y peu rien. Elle a quand même repeint son appartement pour lui faire plaisir. Elle a vu Brian avec qui elle a parlé de tout et de rien pendant qu'elle apprenait à conduire et elle a rencontré Logan à la morgue. Chose qui n'était pas prévu, loin de là.

La vie de Serena bouge beaucoup, mais elle le gère très bien. Son petit monde change tranquillement, elle et Lou parle d’emménager ensemble. Elle a reçu pour son anniversaire un magnifique Bouvier Bernois nommé Bubble, ouais Bubble Wrap, parce que si Lou le pouvait, il enroberait S. Parce qu'encore une fois, Serena a eu droit à sa dose de démon, de virus Croatoan et de loup-garou. Rien de moins.

Un trois mois assez tranquille pour Serena. Elle a de plus en plus l'impression d'avoir une famille, avec brian, Lou et même Chris. Elle les adore. Elle a fêté Noel et la St-Valentin, c'était marrant. Sa vie prend une tournure de plus en plus normal. Il faut juste oublier qu'on lui a fait combattre un peu de force (un viol pour les yeux) un fantôme, tout c'est bien passé, vraiment.