VI.01 - De sang et d'art, SUITE [Abigail Archer]
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VI.01 - De sang et d'art, SUITE [Abigail Archer]

Ven 29 Mar - 14:26
Invité
Anonymous
Invité

La chasseuse était effectivement beaucoup plus douée que toi en informatique mais elle se révélait surtout être un crack en piratage informatique. Tu doutais que vous puissiez vous approcher si facilement du château et la suite te donnait raison. Le château se trouvait au sein d’une immense propriété aux murs très hauts et surveillés en permanence par des patrouilles, sans oublier les caméras et détecteurs de mouvement certainement connectés à un réseau privé donc que même la jeune femme ne pourrait pas infiltrer à moins de se connecter localement. Pour çà, il faudrait entrer dans le château. Ce dernier était alors illuminé comme un sapin de noël et malgré la distance, on entendait nettement de la musique classique mais sans doute festive, à sa façon. Tu te doutais qu’un orchestre devait la jouer, vu le contexte. Un bal peut-être ? Ca pourrait vous aider … Vous rouliez à présent au ralenti, tous feux éteints, et tu repérais un immense portail. Vue l’heure, les festivités avaient du à peine commencé, à moins que tous les invités soient déjà là. Si la chasseuse est toi pouviez prendre la place de retardataires, vous pourriez vous infiltrer dans la place tels des ninjas endimanchés. Tu immobilisais alors ton petit bolide dans un sous-bois tout près et mimais l’étonnement en faisant comme si le contact ne démarrait plus.

"Ca c’est trop bête, c’est notre première rencontre et je te fais déjà le coup de la panne."

Disais-tu avec un large sourire avant de te tourner vers elle en affichant un air déjà plus sérieux.

"On risque de s’engager dans une aventure périlleuse alors je pense que je pourrais appeler par ton prénom et non par "la chasseuse". Moi je m’appelle Liam mais on m’appelle Liam oui, et toi ?"

Il était temps que tu le demandes. Tu te disais que la jeune femme te le dirait peut-être, sauf si elle ne te le disait pas. Allez ? Sérieusement, il y avait d’autres options pour la chasseuse. Elle pouvait accepter de bonne grâce de te répondre, ou refuser catégoriquement parce qu’elle penserait que tu avais donné un autre prénom que le tien, ou alors elle penserait que tu disais la vérité mais que ça ne l’obligeait pas de te dire le sien. Sinon, elle pouvait aussi te mentir en te donnant un autre prénom et au demeurant tu l’appellerais par le prénom qu’elle te donnerait parce que tu la croirais de bonne foi. En plus, tu n’étais pas "un détecteur de mensonges sur jambes", ton odorat unique de vampire ne te donnait pas cette capacité. Il te restait néanmoins la perception humaine et sans te vanter … Si si ! Tu pouvais te vanter d’avoir une excellente perception humaine. Concernant la chasseuse, tu étais certain qu’avec sa personnalité, elle te disait vraiment comment elle se prénommait.
Sam 30 Mar - 15:03
Invité
Anonymous
Invité

J’étudiais la topographie des lieux et j’entrevoyais déjà un plan d’action puis je regardais le vampire qui faisait comme s’il me faisait le coup de la panne. Comique avec ça. Un mordu d’humour. C’est bien une pointe d’humour, sans abus, ça chasse la monotonie. Je sentais que je ne m’ennuierais pas avec … Truc. Il faudrait qu’il se décide à se présenter, ce n’était pas à moi de faire le fameux premier pas.

«C’est pas la plus fâcheuse des pannes.»

Disais-je en imitant un genre de moue. Quoi, je suis pas encore une sainte … C’est qu’il se décidait à se présenter. Mieux vaut tard que jamais, comme dirait l'autre.

«Abigail.»

Disais-je simplement. Mes proches m’appellent aussi Abby mais je ne le dis pas.

«Il faut que je réfléchisse.»

Ça voulait dire "chut" sinon pour un autre je crois que j’aurais ajouté "pas parler" et pour un autre que j’aime pas, "la ferme". Pour un ennemi qui devrais la fermer et qui l’ouvrirait fatalement " ta gueule " et je l’aurais assommé d’un pain fourré aux phalanges. Je sortais mon micro-ordinateur et visualisais la propriété par vue satellite. Pas celle du public, la vue militaire, celle qui n’était pas floutée et où on pouvait voir au centimètre près. Un sourire rusé aux lèvres, je rompais alors le silence :

«J’ai trouvé une de leurs faiblesses. L’électricité. Pas d’électricité, pas de sécurité. Pas de sécurité, pas de défense. Pas de défense … Pas de défense.»

J’explicite un peu plus. Si si, ça se dit, c’est du verbe expliciter.

«Plan : On sabote le courant électrique avec une micro-charge explosive à retardement. Le temps que le système de secours se mette en marche, on passe par une entrée de service. On s’infiltre dans le château et on va directement libérer les vrais prisonniers cette fois. Les doigts dans le nez.»

Ça c’était dit. Je pouvais même dire que c’était fait. Un explication claire, nette, précise comme je les aimais. Ceci dit, j’attendais la réaction de Liam, s'il avait mieux, j'étais toute ouïe, puis je voyais passer une étoile filante dans le ciel nocturne.

«Oh, une étoile filante, vite, un vœu.»

Je ne dirais pas quel vœu je faisais.
Lun 1 Avr - 13:49
Invité
Anonymous
Invité

La chasseuse s’appelait Abigail, ça lui allait bien. Elle avait aussi besoin de réfléchir, alors tu faisais le geste de la fermeture éclair sur tes lèvres. Un silence s’installait, comme on disait, un ange passait mais tu notais que ce n’était pas un silence embarrassant. C’était la première fois que ce silence auprès de quelqu’un ne te dérangeait pas, au contraire. Tu inclinais ton fauteuil un peu en arrière et tu méditais pendant qu’elle cogitait ferme. En somme, tu commençais à réfléchir à ta façon, tu étais donc en train de piquer un genre de somme quand tu l’entendais t’exposer son … Plan ? Tu te redressais, un sourcil dressé par la perplexité et inclinait la tête sur le coté, ce que tu avais tendance à faire quand tu étais très étonné. Puis tu parlais.

Environ trente minutes plus tard, vous dansiez dans la grande salle de bal, au dernier étage du château. Toi en smoking, elle en robe à froufrous, tous deux avec un demi masque comme la plupart des autres invités. Non, comme l’intégralité des personnes ici présentes, concernant le masque, même les serviteurs en portaient un. On disait que l’argent n’avait pas d’odeur, pourtant dans cet endroit au luxe tape-à-l’œil … Comme mets proposé, il y avait des sortes de fontaines de sang. C’était tout. Que des dents pointues à l’exception d’Abigail. Qu’avais-tu répondu à la chasseuse ? Comment en étiez-vous arrivés là? Que faisiez-vous là ?

"Je suis rassuré, je pensais te marcher davantage sur les pieds. La grâce de Fred Astair n’est-ce pas ?"

Bien sur, tu plaisantais et lui soufflais à nouveau à l’oreille :

"Ca fonctionne, il nous a repéré. Il n’a d’yeux que pour toi, c’est bien ce que nous pensions. Et puis un nabot pour un grand château, là, c’est toi qui avais donc raison. Il doit de toute évidence compenser quelque chose."

En fait, tout le monde vous regardait mais d’une manière plus détournée. Si le but de la manœuvre était d’avoir un comportement suicidaire, c’était un succès critique pour vous. La maître des lieux faisait alors tinter une cuillère dorée contre un verre en métal de la même couleur. Tout serait en or massif ici ? Il y en a qui ne savaient pas quoi faire de leur argent.
Mer 3 Avr - 14:28
Invité
Anonymous
Invité

Des tapisseries raffinées, du marbre italien le plus cher, des lustres, du bling bling partout, je détestais cet endroit. Jeter l’argent par les fenêtres ? Non, pas ici, c'était encore pire. Attention poésie : ici, c’était comme s’ils se torchaient le cul littéralement avec de pleines poignées de billets. Vautours, nobles décadents d’une autre époque et désirant que tout le monde y retourne. Liam et moi virevoltions dans la salle de bal, au milieu des autres invités. Il ne m’avait pas marché une seule fois sur les pieds contrairement à ce qu’il venait de dire, ha l’humour même dans cette situation à priori en notre défaveur. C’est pas bon de se fier aux apparences, certains ici allaient le comprendre très vite. Je répondais en affichant un grand sourire qui tenait plus de la grimace en fait :

«Saloperies de talons aiguilles, si je tenais l’abruti qui a inventé ça, je lui enfoncerais dans l’œil.»

Pour l’heure, nous dansions en attendant que le spectacle commence vraiment. Ils ne réalisaient pas que chaque seconde qu’ils perdaient les mettaient en position de faiblesse. C’était comme Liam en fait qui ne comprenait pas qu’il misait trop sur son odorat mais j’appréciais ce coté pas infaillible. Mon allié me faisait alors une réflexion sur le maître des lieux qui m’arrachait un rictus.

«J’ai toujours raison. Ha tiens, il va parler, quelle surprise.»

Le "gnome" faisait alors tinter une cuillère contre un verre métallique. En or ? Je m’en foutais en fait.

«Mesdames et messieurs, votre attention s’il vous plaît.»

Je le regardais, il ressemblait un peu à un pingouin dans son smoking, il avait l'air coincé là-dedans. Un pingouin moche qui me contemplait comme un fanatique de Léonard de Vinci devant la Joconde. Moche, pourri jusqu’à la moelle et complètement taré, tout pour plaire.

«Ce soir, nous accueillons des invités de prestige, un vampire qui nous rejoindra bientôt et une très belle femme à la fois chasseuse et femme de lettres qui sera des nôtres dès ce soir, sauf si elle préfère … Devenir une œuvre d’art !»

Femmes de lettre … Il se trompait sur la forme et sur le fond. Je ne me forçais pas trop pour bailler d’ennui.

«On est trop surpris, quel génie ...»
Mer 3 Avr - 16:32
Invité
Anonymous
Invité

Tu sentais bien qu’Abigail n’aimait pas cet endroit et toi non plus même s’il fallait jouer le jeu encore un peu. Il faisait un signe théâtral mais le rideau de velours rouge derrière lui refusait de s’ouvrir. Amateurs. Deux serviteurs s’y mettaient finalement devant l’air plus qu’embarrassé du vampire d’opérette. Tu ressentais une sensation bizarre en ce lieu mais tu n’arrivais pas à mettre le doigt dessus … C’était très étrange, pourtant tu reniflais l’air et tout semblait aller de soi en la circonstance. Ca devait être la faute au parfum de cette rombière trop près de toi à ton goût, une de ces nobles nostalgiques d’un passé révolu qui pensaient vraiment que plus un parfum était cher, plus il sentait bon.

"Ca va Nosferatu, on savait que vous aviez tenté d’enlever Abigail et que vous aviez ensuite tenté de nous attirer ici par tous les moyens. Bon ça vient ? Remboursez."

Ils ont l’air surpris, et choqués aussi par notre insolence, petites natures. Seul le maître des lieux ricane mais ça ne va pas durer. Tu avais été pour ta part surpris par ses paroles même si tu n’en montrais rien. Abigail ferait partie des hommes de lettres ? Ca n’avait pas eu l’air de l’émouvoir ceci dit. Elle t’en parlerait si elle en éprouvait la nécessité. Le rideau s’ouvrait enfin, révélant une étrange machine qui ne ressemblait à … Rien. Tu ne voyais pas en tout cas. Il semblait y avoir assez de place en son centre pour placer deux adultes corpulents. "Nosferatu" exultait, lui. Il en était visiblement fier.

"Un artiste a besoin de bons outils pour pouvoir exercer son art et c’est avec cette invention de mon cru que la magie opère, que j’écrase les corps pour en faire des amalgames de chair et de sang puis en quelque sorte des "Cesar" de chair". Ensuite, le sang est évacué par un ingénieux système."

Les convives applaudissaient poliment mais ils attendaient la suite. Voila qui confirmait ce que Abigail avait trouvé en analysant l’image satellite du château. Tu n’en revenais pas. Aurait-elle vraiment tout le temps raison ? Ca n’était évidemment pas ça, elle n’avait pas "la science infuse", c’est juste qu’elle ne parlait pas pour ne rien dire et quand elle affirmait quelque chose, ce n’était pas avant de s’être assurée qu’elle ne se trompait pas. Cette façon de procéder avait ses avantages et ses inconvénients.
Mer 3 Avr - 19:00
Invité
Anonymous
Invité

Il n’y avait pas que les chaussures qui me gênaient. Le corset aussi. Si ça se trouvait, c’était la même famille qui avait inventé tous ces instruments de torture contre les femmes. L’inventeur du corset, je lui ferais porter et je serrerais jusqu’à ce que ses tripes lui sortent par la bouche ou par ailleurs. Ce serait pas du sadisme mais de la légitime défense. Pour revenir à nos moutons, le bouffon des lieux nous montrait une machine un peu du genre steampunk, la fantaisie en moins.

«Voila donc notre marché et le spectacle de ce soir.»

Il me regardait alors en ricanant et j’avais envie de lui faire bouffer ses dents pour effacer ce sourire.

«Soit vous transformez cette jeune femme pour en faire l’une des nôtres, soit vous devenez tous les deux mes œuvres d’art pour l’éternité. Je dois dire que votre insolence a poussé ma patience à ses limites alors je vous conseille de vous décider très vite pour la soumission avant que je ne choisisse pour vous le compactage.»

Voila donc les menaces, il était plus que temps qu’on en arrive enfin là ! Les autres nous encerclaient alors avec un air hostile mais ce n’était qu’un air. Je me tournais brusquement vers une des complices.

«Bhou !»

Comme je le pensais, elle sursautait, effrayée !

«Désol … non, ravis de vous décevoir mais il y a une troisième option.»

Profitant alors de l’hésitation de nos ennemis, je faisais glisser une longue lame plate de ma manche et menacais "Nosferatu" avec. Le voilà tétanisé, visiblement il ne s’attendait pas à ça.

«Tada ! Toi et Liam êtes les seuls vampires ici, les autres trompent tes sens, Liam. On va tester cette machine avec toi. Entre là dedans !»

Il hésitait, il allait sûrement me donner une réplique cinglante, pour ne pas dire chiante, pour gagner du temps alors je le poussais dedans violemment. Alors, comment ça marchait ce truc … Il y avait un bouton rouge sur le "panneau de contrôle". Pas dur ! J’appuyais dessus et le gus se retrouvait emprisonné dans une espèce de bocal, puis je découvrais en fait l’utilité première de la machine. Effectivement ça le tassait et il ressemblait rapidement à une statuette, cette récompense pour le septième art mais en version gore.

«Un con pressé.»
Jeu 4 Avr - 8:36
Invité
Anonymous
Invité

Le monstre vous menaçait. Tu ne te voyais pas du tout transformer Abigail et ce pour une raison évidente, non, pour deux raisons évidentes. A la réflexion, pour trois raison évidentes. Tu ne te voyais ni mordre la chasseuse ni accepter votre compression et encore moins le fait de vous soumettre à ce maître d’opérette. C’est alors qu’Abigail faisait peur à un des vampires présents, ce qui te surprenait. Comment ça, seul le nabot serait un vampire ? Et les autres ? Alors qu’elle utilisait l’invention du vampire contre lui, tu envoyais quelques coups de poing bien sentis aux convives autour de toi et tu les envoyais valdinguer un peu partout. Tu venais de cogner l’aristocratie. Dire qu’ils avaient réussi à tromper ton odorat, sans doute à cause d’une autre invention du pseudo artiste.

"Je le savais, les snobs volent bien."

"Nosferatu" était mort, réduit à l’état de "César" stocké de suite dans un compartiment à coté de la machine pendant que le programme de nettoyage faisait déjà son travail. Les humains se soumettaient, confus, se demandant pourquoi les mercenaires ne faisaient rien, eux qui auraient du intervenir de suite si l’intimidation ne suffisait pas à nous soumettre. Ils étaient morts, voilà pourquoi. Vous ne les aviez pas tué mais vous saviez qui l’avait fait. Finalement, tout se passait mieux que prévu et vous n’auriez pas besoin de passer au plan B. Tu étais très mécontent contre les complices humains.

"Vous n’avez pas honte de vous êtres soumis à un vampire, psychopathe qui plus est, tout ça pour être immortels. Vous êtes tous des assassins, vous mériteriez que je vous saigne les uns après les autres, même si votre sang doit être aussi gras que celui des cochons !"

Ton message passait clairement, ils était agenouillés, terrifiés. Il ne faisait aucun doute pour toi que "Nosferatu" les tenait avec cette promesse de les transformer en vampires, un jour prochain, peut-être. Tu voyais alors une fusée de détresse monter dans le ciel. Ca, c’était le signal.

"Tu peux lui répondre pour qu’on ne passe pas au plan B."

Abigail avait mis le petit pistolet de détresse dans son sac à main, tout simplement, ignorant alors une certaine information pour le moins capitale. Personne ne vous avait fouillé tellement le vampire était sur de leur fait, sans doute aussi pour ne pas éveiller vos soupçons avant que le piège se referme sur vous.
Jeu 4 Avr - 14:26
Invité
Anonymous
Invité

La situation était sous contrôle et franchement, je ne m’y attendais pas. C’était pas pour rien s’il y avait un plan B. Je pensais qu’il resterait assez de gardes en haut pour non seulement nous inquiéter mais avec la menace des invités vampires, nous pousser à utiliser ce fameux plan B. Sans compter le maître des lieux. Je ne le dirais pas mais j’étais sure que ce serait un prédateur redoutable, expert en escrime, un truc du genre digne d'un jeu vidéo " LE Boss ". Alors que c’était un lâche et les autres nobles … Juste des humains. Quant aux gardes, aucun ne venait. Il était donc parvenu à tous les tuer ? Pas mal du tout. C’est alors qu’il se manifestait en tirant comme prévu un feu de détresse. Je réprimais un sourire pour continuer à intimider les complices humains et je me disais que j’avais vu juste pour Liam : Il se nourrissait de criminel. D’une pierre deux coups et même d’une pierre trois coups : Il ne souffrait pas de manque, il les débarrassait de fumiers et il faisait économiser des frais de justice. Je m’attendais donc à ce que le vampire utilise le micro pistolet de détresse qu’il avait pris sur lui lorsqu’il me disait de répondre pour qu’on ne passe pas au plan B. Une minute …

«Je l’ai pas, il n’entrait pas dans le sac à main, c'est n'importe quoi, c'est censé être pratique ces trucs. Tu l’as mis à la place de ton flingue, dans ton holster d’épaule … Ou pas.»

J’avais failli sourire, pensant à une blague mais fronçais les sourcils en le voyant me montrer son flingue qui ne devrait plus être là alors que le pistolet de détresse oui, mais il n’y était pas … j’en concluais qu’aucun de nous ne l’avions pris. Il fallait donc réagir et vite, ce que je faisais :

«Plan B !»

Nous allions partir par la conduite d’évacuation du sang bien assez grande pour nous faire passer de front. On l’avait vue sur l’image satellite, elle descendait en serpentant comme un serpent autour de la tour principale du château et était même raccord avec l’architecture d’époque. Le charme de la vie dans les détails. Le sas menant à la conduite d’évacuation était fermée aussitôt après le nettoyage mais j’appuyais sur le seul bouton pour recommencer et donc l’ouvrir vu qu’il n’y avait pas de nouvelle victime et là, rien ne se passait. Le sas restait fermé.

«Merde !»

J’appuyais plein de fois, à la limite de la frénésie, mais rien ne se passait.

«Merde merde !»

Je voyais alors distinctement le missile nous foncer dessus. Avec tout le gaz circulant à l’étage, ça allait faire une belle explosion. Les carottes étaient cuites, la peau de l'ours vendue, la charrue partie sans les bœufs et tout ce qu'on voudra. J’étais pétrifiée et incapable de parler en voyant la mort nous foncer dessus. Sinon j’aurais dit le mot merde trois fois, voire un "putain" aussi.
Jeu 4 Avr - 17:07
Invité
Anonymous
Invité

Ni Abigail ni toi n’aviez pris ce fichu pistolet. Il vous fallait par conséquent passer rapidement au plan B mais le sas demeurait fermé. Tu voyais alors distinctement le missile vous foncer dessus et tu te disais que même pour toi, ça te prendrait trop de temps pour forcer l’ouverture. Tu repérais alors un petit levier sur le coté et tu l’activais, faisant se rétracter le sas mais trop tard, le projectile était presque sur vous. En un geste totalement futile, tu te plaçais entre Abigail et lui, comme si ça aurait pu la protéger. Puis rien ne se passait alors tu regardais en arrière et tu constatais que le projectile se s’était détourné brusquement de sa trajectoire !

"Pas de plan B finalement."

Tu allais regarder Abigail et crâner lorsqu’une voix robotique résonnait dans la salle de bal :

"Auto-destruction dans 5 … 4 ..."

Sérieusement ?

"Plan B !"

Tu saisissais Abigail par les épaules, la plaquant contre toi sans lui faire mal pour autant et vous sautiez dans la conduite et entamiez une descente beaucoup plus rapide que prévue le long de ce toboggan infernal improvisé pendant que le dernier étage de la tour explosait en des milliers de débris. Tu aurais préféré demeurer stoïque, silencieux pendant la glissage mais celle-ci était tellement rapide que tu ne pouvais pas t’empêcher de crier mais en fait c’était une bonne chose que vous vous déplaciez avec autant de vélocité, Abigail et toi vu que le souffle de l’explosion vous suivait de très près. La langue de feu semblait même vous rattraper, allait-elle vous submerger, vous carboniser ?

Quel suspense.

Puis en fait non. Vous échappiez bel et bien au souffle ardent, certes de justesse. Vous aviez survécu et vous pouviez quitter le domaine malgré les multiples explosions qui le secouaient semblait-il de toutes parts. Demeurait alors une inconnue. Qui avait pu prévoir une telle solution aussi extrême ? Certainement pas "Nosfératu" qui t’apparaissait de plus en plus comme un simple pantin manipulé par quelqu’un qui resterait tapi dans les autres, mais dans cas, de qui s’agissait-il ? Quant à cet individu qui avait tué les gardes et délivré les prisonniers pendant que vous faisiez diversion, Abigail et toi, avant de tenter de faire exploser le dernier étage de la tour au lance-missile, vous saviez évidemment de qui il s’agissait.

La suite ici^^
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