VIII.02 ¤ La Maison Hantée

La Maison Hantée

¤ 4 participants : Calli (Sally), Soran (Dylan), Abi (Etudiante dark) & Bobby

Contexte de la mission

Les chasseurs découvrent une maison hantée dans une petite villes à une trentaine de kilomètres de Huntfield. Il y a de nombreuses disparitions et ils décident donc d’agir pour en chasser le fantôme. Le groupe se lance dans une enquête pour découvrir qui hante la maison. Ils découvrent alors le corps enterré dans le cimetière de la ville. Ils le déterrent et le brûlent sauf … que ça ne sert à rien. La maison est toujours hantée, alors que se passe-t-il ?

Les chasseurs décident de mettre les pieds dans la maison sauf qu’ils ne sont pas les seuls : un groupe de jeunes étudiants, avec l’envie de se faire peur, se retrouvent eux aussi coincés dans la maison et le fantôme n’est pas content du tout.

La mission se déroule le 10 Juillet

Image : Inconnu - Codage by Nono

Dylan Johnson

Le beau gosse !

Dylan, 22 ans, signe du scorpion, intelligent, beau gosse, dragueur, major de sa promo à la Fac, Quaterback dans l'équipe universitaire, célibataire mais semble aimer les aventures qui ne durent pas longtemps, courageux, sexy, peut avoir un fond un peu mauvais, jaloux, veut toujours être le meilleur, rebelle, un peu bad boy, fumeur...

Parfois les jeunes sont des idiots et il se trouve qu'il n'y a pas si longtemps que ça, quelqu'un a lancé un défi stupide à Dylan. Le genre, "ouais, t'es peut être le capitaine de l'équipe de football américain de l'université, mais en dehors de ça t'as pas de couille". C'était le défi un mec jaloux, qui voulait prouver que le Quaterback de l'équipe était une putain de chiffe molle. Est-ce que Johnson est du genre à reculer devant un défi ? Non ! Alors, il a demandé ce qu'il devait faire pour montrer qu'il avait des "couilles" et ça putain, il en a ! Le mec lui indiqua qu'il allait devoir passer une nuit entière dans la vieille maison Collins. Une maison abandonnée depuis des années et réputés pour être hanté. C'est d'ailleurs pour ça que personne ne l'a jamais acheté, personne ne semble vouloir vivre dans cette demeure. Une rumeur indique que parfois, quand on passe devant le soir, il est possible d'entendre du bruit et même de voir une ombre à la fenêtre. Comme si ça allait lui faire peur. Alors, il a relevé le défi, proposant même à d'autre de le suivre, non pas qu'il est peur, mais pour valider le défi et s'assurer qu'il va bien rester toute la nuit ou juste pour tenter l'expérience.

C'est comme ça que Dylan se retrouva à l'intérieur de la baraque. C'était grand et sombre. Pas d'électricité, cette dernière étant coupé depuis quelques années vu que plus personne n'y habite. Le hall d'entrée était plutôt grand, bon ça sentait une vieille odeur de renfermé, mais c'est normal vu que plus personne n'habite cet endroit. "Maison hanté... mon cul... C'est juste un endroit abandonné. Putain, je devrais peut-être songé à la racheter, elle coute que dalle avec ces rumeurs à la con !" Il prit son téléphone portable et débuta un live instagram histoire de montrer à tout le monde qu'il était entrée et qu'il n'avait pas peur. "Alors connard, c'est qui qui n'a pas de couilles ? Regarde, j'suis à l'intérieur et bouuuuuh... même pas peur !" Un bruit se fit entendre à un étage, ceci ne le fit pas sursauter, mais attira son attention, puis il regarda de nouveau son écran en rigolant. "Nan... mais t'as osé espèce de petite merde ! Genre, t'as piégé la maison ou t'as demandé à tes potes de te cacher pour me faire peur ? T'es naze !" Dylan arrêta le live et observa les quelques personnes qui étaient venues avec lui. "Je vous jure, ce type est un crétin, comme si j'allais avoir peur..."

Le sel et le feu furent jumeler pour contribuer à l’acte purificateur pour libérer la terre d’un autre esprit malveillant. Le vétéran de la traque leva ses mains par-dessus le brasier pour se réchauffer un peu ses vieux os. Il sourit doucement, mince lueur de bonheur dans ce masque d’intransigeance pur. Car il savait qu’il devrait affronter son dragon à son retour, que l’irlandais devrait déployer moults caresses et baisers pour se faire pardonner d’avoir rejoint un bleu dans une chasse des plus sommaires. À sa défense le vieil ours mal léché avait essayé de rejoindre son amour, mais elle devait se faire masser et faire des bains de boue dans un spa huppé des environs. Un esprit frappeur qui causait des disparitions et des incidents dans une vieille bicoque abandonné. Et comme de raison seulement des fichus étudiants disparaissaient car c’était la mode de jouer au défi de la poule mouillée ou bien des adeptes des Ghostfacers de merde. Le cellulaire du patriarche Singer sonna et ce fut la voix paniquer de son acolyte du moment. Il disait que le brasier purificateur n’avait pas fonctionner car il voyait encore les phénomènes se produire dans la maison hantée de ce petit coin de pays. Grognant de colère et d’incompréhension, le chasseur dit avec simplicité de sa voix rauque et chaude son célèbre patois.

Bobby- Balls… Bon il doit avoir un truc de cette fichue chipie translucide de mon cul qui la maintient à cette foutue bicoque. Arnold tu viens enterrer le trou et moi je fouille l’endroit… Et pas de mais borde de merde tu commences dans le métier donc j’ai creusé et c’est à toi de reboucher ce sacré de trou…

Rageusement le vieux bougon retourna à son véhicule, rapiécer et moche comme l’irlandais mais qui tenait encore la route avec l’obstination de l’âge. Rendu sur les lieux sur des airs de Johnny Cash, le vieux briscard fit des faisceaux de lumières se balader dans les fenêtres à demi obstruer par des planches. Au second la forme diabolique d’une femme torturer apparut brièvement. Sortant sa flasque contenant son remède contre les merdes de l’existence, un pur malt irlandais qui faisait cramer les poils de pieds, l’ours mal léché but une rasade pour se donner un sursaut d’énergie en jurant de nouveau.

Bobby- Balls… Des petits morveaux qui vont se faire dépecer comme des agneaux à l’abattoir… Pourquoi qu’ils ne font comme moi dans ma foutue jeunesse? Fumer du pot dans le sous-sol en écoutant des vinyles? Ben non allons déranger des trucs surnaturels pour essayer de se mouiller la culotte… Imbéciles…

Grognant de manière exaspérer le vieil homme en prenant son équipement dans le coffre arrière de sa vieille bagnole…

Sally Stark

La pom-pom girl

Sally, 19 ans, petite pimbêche, un peu naïve, se trouve jolie, prétentieuse, première année à la Fac, Pom pom girl, célibataire, gentille mais pas avec la gente féminisme, fonceuse, envieuse, trouillarde, rebelle ne supporte pas l'autorité, fumeuse !

Sally pensant que la vie c'était un kiwi, petite enfant gâtée et on ne lui refusait rien s'était présentée pour faire partie de l'équipe des pom-pom girls, elle savait danser se trouvé très jolie et ne voyait pas pourquoi on le lui refuserai. Mais voilà la capitaine était une vraie garce et ayant accepté le talent de la petite métis, il fut décidé qu'un défi plus grand serait de taille pour faire partie de l'équipe de cheerleader, aller dans la fameuse maison hantée et en soit elle était déjà acceptée mais c'était un petit plus pour leur foutre une bonne trouille a ses petites pimbêches. Trouillarde mais voulant absolument en faire partie elle décida de se rendre dans cette fameuse maison pour montrer a la capitaine qu'elle visait haut très haut ainsi pourquoi pas prendre sa place plus tard. Elles furent deux a l'a rejoindre et elles arrivèrent devant la maison lugubre glauque en même temps une maison dite hantée n'allait pas clignoter et faire bling bling...

Téléphone portable avec lampe de poche allumée pour entrer la dedans, y avait pas de lumière ça sentait le moisi en plus... Elles décidèrent de monter les escaliers de prendre des photos pour prouver qu'elles étaient venues dans cette maison dite hantée.

« Bon les filles on monte on prend des photos et on dégagent, ça pue c'est très glauque. J'ai envie de fumer une clope. Y a rien ici qui fait peur a part une baraque pourrit inhabité depuis un moment ». Dit-elle en replaçant des mèches de cheveux derrière son oreille.

Il y régnait un calme a cet étage et elles se mirent a rire mais il faisait froid d'un coup. Elle allèrent de chambres en chambres faisant beaucoup de bruit quand soudain elle entendirent du bruit en bas, on aurait dit que des personnes parlaient fort. Sally ne bougea pas de la ou elle était elle ressentit un froid terrible puis voulut hurler quand elle sentit quelques choses derrière elle lui toucher l'épaule ...

PHOENIX , je sais que je dois te laisser partir mais je n'y parvins pas. Tout me ramène à toi et vivre sans ta présence m'est insupportable,pourtant je dois me montrer forte et avancer dans la pénombre, heureusement je ne suis pas seule...

Rebecca Laurens

La Sorcière !

Rebecca, allias Beka, 18 ans, fille de parents difficiles à vivre, elle a toujours été rebelle. Jamais comme les autres, elle est solitaire et clairement pas populaire. D'ailleurs ils sont ce qu'elle déteste le plus elle si au fond elle les envies. Elle a un bon fond même si elle fait sa mauvaise. Courageuse elle est du genre à aider au besoin.

C'était une idée à la con et pourtant elle les avait suivit. Beka était une bonne personne même si elle montrait le contraire. Cette maison elle la connaissait pour être passé de nombreuses fois devant elle. A chaque fois elle ressent une tristesse absolue et n'a jamais voulu allé à l'intérieur, elle a l'impression de déranger. Pourtant quand le défi a été lancé, contre toute attente on lui a demandé de venir. Elle aurait pu dire non mais... Allez savoir pourquoi elle a décidé de suivre les populaires, non pas sans râler et croiser les bras.

" Je répète qu'on devrait pas y aller... " dit elle d'une voix agacé en soufflant la fumée de la cigarette qu'elle avait entre les lèvres. Pourtant elle suivait, son sac noir et couvert de patch de groupes de rock et de petit démon. Elle regarde autours d'elle et sent une douleur dans la poitrine, un malheur intense ou peut être la peur ? Derrière Dylan, allias le roi de l'établissement elle soupire alors qu'il fait un live. Quand un bruit retenti . " c'est bon t'as fini on peut se casser ? . " dit elle les bras toujours croisés.

Agacée et un peu effrayée par tout ça elle decide de faire demis tour. "Bon allez ça m'a saoulé, j'me casse." dis elle en allant vers l'entrée de la maison. Mais quand elle tourna la poignet celle ci resta close. La panique monta d'un grand alors qu'elle essaya de tirer plus fort pour ouvrir la porte. " C'est quoi ce bordel ? QUI A ÉTÉ ASSEZ CON POUR FERMÉ À CLEF ? " dit elle en colère à l'attention des autres. C'était clairement pas drôle, certaines filles, surtout des pompon girls Chichis commencèrent à paniquer cela me fit levée les yeux aux ciel. Elle regarda autours d'elle . Aillant toujours cru aux fantômes et autres choses étranges qui pouvait se passer en ville elle cherchait rapidement un truc en fer avant de trouver un manche qui servait pour le feu. On ne sais jamais... Maintenant il était temps de sortir de là.

Dylan Johnson

Le beau gosse !

Dylan, 22 ans, signe du scorpion, intelligent, beau gosse, dragueur, major de sa promo à la Fac, Quaterback dans l'équipe universitaire, célibataire mais semble aimer les aventures qui ne durent pas longtemps, courageux, sexy, peut avoir un fond un peu mauvais, jaloux, veut toujours être le meilleur, rebelle, un peu bad boy, fumeur...

Ce bruit ne lui faisait pas peur. Les fantômes il n'y croit pas, c'est juste de conneries inventées par le grand mère pour faire peur aux enfants. Et puis, même si ça existait vraiment, qu'est-ce qu'un truc qui n'a pas de matière physique pourrait faire, hein ? Puis de toute manière, il a vu Ghostbuster, faut pas avoir peur d'un monstre. Si c'est réellement vivant, il y a toujours un moyen de le tuer. Les filles commençaient à paniquer, putain... pourquoi il avait fallu qu'il y ait des nanas dans le groupe. La plus jeune Rebecca, jolie mais plutôt bizarre commençait limite à se chier dessus. Ben voyons... C'est celle qui semble le plus dans ce délire de truc genre "planche ouija" qui a la trouille. Bien sûr, il suffit d'une personne pour que la peur se transmette comme un virus. Oh ça commençait à lui casser les couilles à notre beau gosse. "Bordel, vous allez arrêter de geindre comme des truies ? C'est bon, c'est une vieille maison, c'est juste le planché qui a craqué !" C'est rationnelle comme raisonnement et dans la plupart des cas, il aurait raison. Ses grands parents ont une vieille baraque, il a l'habitude d'entendre tout est n'importe grincer chez eux et il n'y a pas de présence fantomatique. Becca veut se tirer, bon débarras ça fera une chie culotte en moins ! Mais non ! La porte est bloquée et elle panique. Bordel... quoi encore ? "C'est l'autre connard qui nous a enfermé pour nous faire peur. C'est bon, on va trouver une autre sortie, déstresse d'accord !" C'est dommage, il la trouvait "baisable" mais le côté trouillard franchement ça ne l'attire pas du tout. "Faites ce que vous voulez, je vais voir en haut moi !" Il avait vu des filles monter, des pom-pom girl, autant voir ce qu'elles font. Au fond du couloir, il en voit une de dos, il s'approche et pose sa main sur son épaule, lui filant presque une crise cardiaque. Nan, mais elles sont toutes autant stressées que ça ? "Du calme, c'est moi ! Qu'est-ce tu fous là ? Si t'as peur, par pas toute seule ! Faut qu'on trouve une autre sortie, cette bande de sous merde a verrouillé la porte d'entrée," explique t'il a Sally l'une des dernières arrivées dans la team des cheerleader et pas la plus moche en plus.

Le vieux briscard s’approcha de la porte d’entrée et essaya d’ouvrir le battant. Levant les yeux au ciel en entendant une jeune femme hurler que la porte était verrouillée, le vétéran de la traque soupira en grinçant les dents.

Bobby- Bordel de merde pourquoi je n’ai jamais le droit à une chasse normale... Que l’esprit est sympa et se laisse faire. Ben non juste de la merde pour ma foutue gueule et en plus à entendre le boucan, c’est un lycée au complet qui vient d’aboutir dans ma chasse...

Portant sa main à son front, geste précurseur des futurs maux de tête que l’irlandais allait subir dans ce chaos de jeunes qui seront paniquer alors que le surnaturel allaient leur mordre le cul, le vieil ours mal léché fit le tour de la propriété abandonné. Toutes les issues étaient bloquer, comme souder dans le bois. Mais une fenêtre étroite du sous-sol était entrouverte, comme pour attirer le chasseur dans ce nouveau chapitre d’horreur fantomatique. Faisant passer son sac d’équipements par l’ouverture, grognant pour la cause, Bobby se faufila maladroitement en se tortillant le cul comme un ver de terre saoul. Helen avait tellement bien nourri le gaillard que ce dernier eut toute les difficultés à passer sa carcasse dans la petite ouverture. Laissant tomber son célèbre patois au même moment ou la gravité reprenait ses droit, le vieux briscard tomba lourdement au sol.

Bobby- Balls... Je commence à être trop vieux pour ces foutues de conneries... Emmenez moi une marchette...

Soufflant pour récupérer son souffle, le patriarche Singer fit craquer son dos en grimaçant de douleur et grognant entre ses dents. Ensuite il passa son vieux sac à bandoulière en cuir rapiécer et fit un tour de la cave. Rien à signaler, rien de déplacer ou qui alluma instinct sans faille du vétéran de tant d’horreur. Bobby entreprit de monter l’escalier, qui chambranle comme une mamie ayant le parkinston, qui allait mener l’irlandais vers le rez-de-chaussé. L’endroit on déjà on pouvait percevoir des cris de peur. C’était bon signe pour le barbu intransigeant car si l’esprit de la vieille chipie avait commencer son œuvre, ce sera des hurlements de terreur pur qui s’entendraient à des lieues à la ronde!

HRP MP envoyer à Calli!

Sally Stark

La pom-pom girl

Sally, 19 ans, petite pimbêche, un peu naïve, se trouve jolie, prétentieuse, première année à la Fac, Pom pom girl, célibataire, gentille mais pas avec la gente féminine, fonceuse, envieuse, trouillarde, rebelle ne supporte pas l'autorité, fumeuse !

Sally ne voulait pas passer a coté d'une belle occasion du coup, c'est qu'elle était arrivé en dernier dans l'équipe et voulait vraiment prouver qu'elle pouvait être au top. C'était que y avait de la concurrence et de la jalousie entres filles, du coup elle n'avait pas hésité a venir ici. Quand on était prétentieuse comme elle c'était une veine, mais bon était-ce vraiment une bonne idée ? Il était dit qu'elle était hantée cette baraque, a croire au nom des hurlements qu'ont entendait et que ça piaillait de partout qu'il y avait vraiment un truc qui cloché.
La petite cheerleader quand elle sentit cette petite pression sur son épaule émit un petit cri effrayant. Elle se retourna reconnut de suite Dylan le fameux beau gosse de l'équipe de football. Elle lui sourit mais se demandait ce qu'il pouvait bien faire ici lui aussi.

« Tu m'as foutu la trouille. A ton avis c'est la capitaine de l'équipe qui nous as mise au défi de venir ici pour que l'ont puisse faire mieux comme cheerleader. Mes copines je ne sais ou elles sont passées j'étais pas seule a la base. Toi que fais-tu ici ? Oh qui donc a verrouillé la porte ? On fait quoi du coup ?». Lui dit-elle en le suivant le collant un peu une chance d'en profiter un peu toutes les nanas ne juraient que par lui a toujours lui compter des louanges.

C'était un peu panique a bord en bas, elle vit d'un coup d’œil une fille essayait de tirer sur la poignée de porte de toute ses forces.

PHOENIX , je sais que je dois te laisser partir mais je n'y parvins pas. Tout me ramène à toi et vivre sans ta présence m'est insupportable,pourtant je dois me montrer forte et avancer dans la pénombre, heureusement je ne suis pas seule...

Rebecca Laurens

La Sorcière !

Rebecca, allias Beka, 18 ans, fille de parents difficiles à vivre, elle a toujours été rebelle. Jamais comme les autres, elle est solitaire et clairement pas populaire. D'ailleurs ils sont ce qu'elle déteste le plus elle si au fond elle les envies. Elle a un bon fond même si elle fait sa mauvaise. Courageuse elle est du genre à aider au besoin.

La porte avait été fermée et je commençais à paniquer. Ok j'étais peut être la plus bizarre d'entre nous mais j'étais aussi celle qui avait, peut être, le plus de respect pour les morts et surtout qui avait entendu des tas de choses sur ce qu'ils étaient capables de faire. Toujours devant la porte à essayer de trouver une clef autours de celle ci dans un petit meuble j'entends une voix d'homme venant de l'autre côté.. " Hey...Il y a quelqu'un dehors.. Monsieur ? On est enfermé dans la maison...J'ai pas la clef ! " dis je en espérant être entendu mais en me retournant je vis que j'étais seule. Les autres étaient montés/ " Putain de connards ! J'aurais jamais du venir putain ! " dis je avec colère quand j'entendis des bruits dans le sous sol. Je fus surprise et serra la barre de fer que je tenais dans ma main.

J'avance vers le bruit pour voir un vieil homme. Je le fixe un moment, il a un sac et semble être passé par le sous sol, d'où les bruits. " Vous êtes qui ...? " demandais je alors surprise de voir un inconnu de cet âge entrer dans la maison, il venait quand même pas se faire peur comme nous. Mon regard se posa en haut de l'escalier où je vis les populaires. J'haussais les épaules comme pour dire que je comprenais rien moi aussi. Puis posa à nouveau le regard sur l'homme. " J'comprend pas...les portes étaient ouvertes et là impossible de sortir...vous êtes entrez comment ? Peut être qu'on peut sortir par là non ? " Mais c'est à ce moment qu'un gros livre traversa la pièce. Je le pris dans le flanc et tomba au sol dans un cris de douleur, putain ça faisais mal cette merde. Je regardais les autres étudiants sentant mon coeur battre plus vite. " ça aussi s'était prévu Dylan ? " demandais je avec colère.

Dylan Johnson

Le beau gosse !

Dylan, 22 ans, signe du scorpion, intelligent, beau gosse, dragueur, major de sa promo à la Fac, Quaterback dans l'équipe universitaire, célibataire mais semble aimer les aventures qui ne durent pas longtemps, courageux, sexy, peut avoir un fond un peu mauvais, jaloux, veut toujours être le meilleur, rebelle, un peu bad boy, fumeur...

En venant ici, il ne s'attendait vraiment à rien. De base, il voulait surtout prouver que tout ce qu'on disait sur cette maison, c'était du pure bullshit. Une maison hantée... Qui croit à ce genre de merde aujourd'hui hormis les flipettes ? En tout cas, pas lui ! En tant que meilleur joueur de l'équipe de foot, fallait bien qu'il se montre courageux et il savait bien que ceci allait contribuer à entretenir sa popularité. Il croisa une autres élèves, elle par contre, elle se semblait pas avoir son courage et clairement, ça se voyait qu'elle était apeuré, c'est ridicule. Si la porte est verrouillée, c'est forcément un coup des autres. Ils ont fait ça pour les faire chier qu'ils aient encore plus peur, ça semble logique, non ? "C'est bon, cette maison à rien d'hantée. C'est juste fait exprès pour vous faire peur et ça marche. Les fantômes ça n'existe pas !" Dylan était condescendant, mais les chochottes qui pleurnichent en mode "mouin j'ai peur d'un fantôme" ça l'exaspère. C'était peut être le moment de descendre pour voir ce que font les autres bas.

Se trouvant à l'étage, il n'avait donc pas entendu le bruit provenant de la cave, ce n'est qu'en descendant les escaliers qu'il remarqua un vieux type en train de discuter avec Rebecca. Putain ? C'est quoi ça ? Une sorte de pervers qui vient stalk ou draguer ? "C'est qui le vieux ? S'il te fait chier, je lui casse la gueule !" annonce Dylan n'ayant pas peur du grand père. C'est là qu'un livre heurta la jeune fille qui tomba au sol visiblement pas contente. Qui avait fait ça ? Ça doit venir d'une pièce à coté. "Bordel les gars, ça se fait pas de faire ça ! Pas violence merde !" Dylan pensait à des élèves dans la pièce voisine qui aurait balancé le livre. Du coup, il descend les dernières marches rapidement, passe devant le vieux en plissant les yeux comme pour lui faire un regard de tueur, puis va dans la puisse d'où provenant le livre, c'était une bibliothèque/salon. Personne ! Peut-être qu'il y a des passages secrets, ce n'est pas rare dans les vieilles maisons. "Bande de petits cons, c'est bon ! C'est fini les blagues ça devient lourd là !" Plus loin, plusieurs livres tombèrent d'une étagère, mais la encore, il pensait à un truc que les autres auraient pu mettre en place pour leur foutre la frousse de leur vie !

Le vieux briscard qui avait connu tant de guerres et d’horreur grimpa l’escalier pour se retrouver dans un foutu bazar. Des adolescents qui voulaient se faire une frayeur étaient éparpiller au quatre vent, certain voulant se montrer doter d’une grosse pour compenser leurs foutu intellect de Cro-Magnon. Le patriarche Singer fut accueilli par une jeune adulte qui lui rappelait automatiquement sa fille de cœur. Même attitude rebelle, direct et surtout qui semblait en avoir dans la tête en comparaison des poules écervelés dont la panique commençaient à prendre à la gorge. Le vieil homme jeta un œil dégouter et surtout blasé par les gens qui ressentait la plus basique des émotions. Mais il hocha la tête de satisfaction en voyant la barre de fer que tenait son interlocutrice du moment. La voix rassurante et rauque du vétéran de la traque se leva alors dans un murmure.

Bobby- Moi c’est Bobby… Je viens vous tirer de la merde que vous êtes si gentiment jeter tête première… Balls… C’est foutrement dangereux dans le coin.

L’attention de l’homme fut déviée par l’arrivée de roulement de mécanique pathétique d’un foutu connard de merde. L’irlandais avait en horreur ces grandes gueules qui ne pensaient que par leurs bites et passait les cours car ils étaient doués en sports. Alors que les paroles de machos se leva, un éclat de colère traversa la dureté des iris d’acier bleuté du barbu. Grognant doucement, le vieil homme dit avec pontait et surtout une franchise qui trahissait son héritage irlandais.

Bobby- J’aimerais bien voir ça blanc-bec… Bordel de merde ça roule des mécaniques devant les autres, mais tout seul ça se chie sur les chevilles…

Déjà l’esprit frappeur entra dans la danse. Projetant un immense bouquin vers la seule que l’ancien soldat appréciait. Le sportif de merde s’énerva, demandant déjà la non-violence alors qu’un instant plus tôt il voulait casser la gueule de Bobby. Tendant une main vers la jeune femme, le chasseur l’aida à se relever alors que le dénommer Dylan regardait une rangée de livres bousculer vers l’avant sous la poussée poltergeist.

Bobby- Tu fais bien d’avoir la barre à fer… Bordel cette vieille saloperie de fantôme nous à enfermer… J’ai pu passer par la fenêtre de la cave, mais elle a tout verrouillé la connasse… Elle voulait jouer avec moi aussi...

Il pointa une vieille peinture au-dessus du foyer en ruine.

Bobby- Ça va? Elle commence assez fort la vieille bourrique. Elle reste pour protéger les siens et ses trucs… Il doit avoir un truc d’elle encore ici… Je dois la trouver et la bruler pour la chasser des lieus et vous sauver les miches. Écoute si tu vois une vieille saloperie moche à part ma gueule de porte-bonheur, tu frappes dessus avec ta barre… Les esprits n’aiment pas le fer. On doit emmener les autres dans un coin et faire un putain de cercle de sel… J’espère juste que tes potes sont moins cons que le type qui rêve de me casser la gueule…

(Mp envoyer à Abi vu que Calli est en vacance!)

Sally Stark

La pom-pom girl

Sally, 19 ans, petite pimbêche, un peu naïve, se trouve jolie, prétentieuse, première année à la Fac, Pom pom girl, célibataire, gentille mais pas avec la gente féminisme, fonceuse, envieuse, trouillarde, rebelle ne supporte pas l'autorité, fumeuse !

Dylan précisait que la maison n'avait rien de hantée que c'était juste pour faire peur a ceux qui le croirait. Que les fantômes n'existaient pas, c'était pas tout a fait normal. Mais y avait eu des bruits suspects et on avait cru entendre des choses assez banal. Sally l'avait suivis dans les escaliers a présent et ils descendirent devant le vieux bonhomme. La jeune femme se demandait comment il était arrivé la. Dylan s'excitait a demander c'était qui le vieux et qu'il n'aurait pas peur de lui casser la gueule si besoin ! Cela fit sourire rapidement Sally mais elle ouvrit grands les yeux quand la jeune femme qui avait essayer d'ouvrir la porte se prit un livre en pleine tête. La pom-pom girl suivit Dylan en bas et elle se précipita vers elle.

« Est ce que tu vas bien ? ». Demanda Sally en s'agenouillant vers elle.

Cela devait faire mal quand même et puis tout a coup plein de livres tombèrent d'une étagère, très flippant tout ça.

« Dylan tu crois pas que la quand même c'est assez flippant ? Le livre est pas attaché par une ficelle elle se l'ai prit en pleine tête ». Lui dit-elle d'un regard assez sérieux du style je crois que la franchement les petits cons auquel tu penses n'y sont pour rien.

Le vieille homme rigolait pas du tout, il rouspétait après Dylan. Il avait aider la jeune femme a demi assommé a se relever ! D'après lui il parlait de fantôme donc en gros c'était vrai cette histoire !

« Monsieur vous avez dit Fantôme ? Vous êtes sérieux ? Cette maison est vraiment hantée ? On va faire comment pour sortir d'ici ? ». Dit-elle avec un sourire un peu sarcastique.

Est-il un peu sénile le monsieur la ? Qu'est ce que c'était que ce bordel !

PHOENIX , je sais que je dois te laisser partir mais je n'y parvins pas. Tout me ramène à toi et vivre sans ta présence m'est insupportable,pourtant je dois me montrer forte et avancer dans la pénombre, heureusement je ne suis pas seule...

Rebecca Laurens

La Sorcière !

Rebecca, allias Beka, 18 ans, fille de parents difficiles à vivre, elle a toujours été rebelle. Jamais comme les autres, elle est solitaire et clairement pas populaire. D'ailleurs ils sont ce qu'elle déteste le plus elle si au fond elle les envies. Elle a un bon fond même si elle fait sa mauvaise. Courageuse elle est du genre à aider au besoin.

Un homme venait d'arriver comme venu de nul par alors que Dylan arriva vers moi pour s'avoir si il m'ennuyait pas. Son côté presque jaloux me fit de l'effet l'espace d'une seconde. Ouai c'était un con de populaire mais...au fond je crois que ça me plairait assez qu'il me remarque un peu. " Non, ça va il m'emmerde pas ... "
Pas le temps d'en dire plus qu'un livre fonce sur moi et me fait tomber au sol sous le choc. C'était quoi cette merde ?! Je posais ma main sur ma tête qui me fait un mal de chien, je grimace alors que le prénommé Bobby me tends la main. " Rebecca...on est venu pour...enfin...c'est un défi à la con mais... " Je me sens aussi conne que les pompon girls, pourquoi est ce que j'ai accepté de venir déjà ? Ouai ... me faire bien voir, tu parles , qu'elle connerie !

" ça va aller t'inquiète ! " dis je a Sally qui arriva vers moi. Je me relevais avec l'aide de l'homme qui annoncé que s'était bel et bien hanté, et que j'avais bien fait de prendre une barre en fer. Je regardais cette dernière alors qu'il m'expliquait les choses. " Du sel ? Mais...on en a pas... " dis je en regardant les autres pour m'assurer qu'ils n'en avait pas. Dylan semblait encore penser que c'était d'autres gens de la maison. " J'en sais rien mais dans l'doute...tu crois pas qu'il faudrait faire gaffe ? " dis je clairement pas rassurée par tout ça.

" Mais du coup...vous êtes là pourquoi ...? Vous êtes pas flic au moins ? " dis je en regardant l'homme d'un certain âge. C'était clairement bizarre tout ça ! Néanmoins je serrais dans ma main la barre de fer, je ne comptait pas la laisser tomber.

Dylan Johnson

Le beau gosse !

Dylan, 22 ans, signe du scorpion, intelligent, beau gosse, dragueur, major de sa promo à la Fac, Quaterback dans l'équipe universitaire, célibataire mais semble aimer les aventures qui ne durent pas longtemps, courageux, sexy, peut avoir un fond un peu mauvais, jaloux, veut toujours être le meilleur, rebelle, un peu bad boy, fumeur...

Le nouveau venu, ce vieux type totalement inconnu, ne lui inspirait rien. Qu'est-ce qu'un vieux schnock fait ici ? Si c'est pour venir mater les filles où faire des trucs salaces, il ne le laissera pas faire. Autant prévenir qu'il n'hésitera pas à le cogner s'il s'en prend à elle, simple avertissement. Puis, voilà qu'un livre traverse le couloir, venant de la pièce voisine pour percuter la pauvre Rebecca. Elle n'avait rien de casser et Sally s'occupait d'elle, même vieux con était là, ça servait à rien d'être trente mille autour d'elle. Du coup, il préfère aller avoir dans la pièce d'où était venu le livre pour voir si le coupable de se geste était là. Mais s'était désert... Seul des livres tombèrent d'une étagère.

Vu la situation, il pourrait penser que ce sont des fantômes et que ça n'a rien de normal. Mais il sait qu'il y a des types pas mal créatif dans ses cours. Il pense notamment à ces putains de geek, fan de science et compagnie qui pourrait parfaitement inventer des systèmes ingénieux pour faire croire que ceci est paranormal. Les filles commencent à penser à cette possibilité et le vieux semble à fond sur ça. Bordel, ils sont tous cons où quoi ? "C'est bon, c'est pas quelques livres qui se cassent la gueule d'une étagère qui veut dire que c'est un fantôme. J'suis sûr que c'est un coup de Stevie et de sa bande de geek à la con !" Typiquement, c'est le genre de petit intello que Dylan ne supporte pas et ça arrive que parfois il les malmène, ça serait une bonne vengeance de leur part d'essayer de faire peur au meilleur joueur de l'équipe de football. "Je crois pas aux fantômes ! Je crois qu'en ce que je vois ! Alors si votre Casper veut se montrer, peut-être que je finirais par y croire." Aussi têtu que son père, quand il a une idée, il ne l'a pas ailleurs.

Du bruit se fit entendre de nouveau dans les étages, encore un truc pour les faire flipper. "J'suis sûr qu'ils sont dans la maison, je vais les chopper !" Il sort de la pièce pour revenir dans le couloir et grimper les escaliers rapidement pour se retrouver en haut. Un meuble a été renversé, d'où le bruit qu'il a entendu d'en bas. "Hey, bande de ptite bite ! Montrez vous au lieu de faire vos conneries en cachette. Vous me faite pas peur okay !" Non, il n'avait pas peur, on ne la lui fait pas à lui !

Le vieux soudard grogna dans sa barbe en levant les yeux au ciel à la recherche d’une aide qu’il n’aura jamais vu qu’il savait que dieu s’était fait la maille pour éviter de voir que ses conneries ont dégénérer. Les adolescents semblaient presque se chier dessus et le patriarche Singer n’avait pas le goût de refaire la nounou. Comme de raison le connard de sportif roulait des mécaniques pour impressionner ses potes. Le vieil homme qui avait connu tant de combat et de drame ne put s’empêcher de grogner entre ses dents comme le cerbère qu’il est toujours avec les gens qu’il doit protéger.

Bobby- Quand tu vois voir que Casper va te projeter sur le mur tu vas déchanter espèce de petit con...

Se tournant vers les deux femmes il secoua sa tête de résignation devant le sourire presque moqueur de la pom-pom girl. Il pointa des lumières qui commençaient à s’affoler.

Bobby- J’aurai pas dû dire fantôme... Bordel si c’est juste ça se serait joyeux. On a affaire à une putain d’âme errante qui bute les gens qui viennent dans sa piaule pour protéger l’endroit. Un bordel de poltergueist à la noix. Si ça serait pas sérieux, je serais chez moi en train écouter Oprah avec un irish coffee et non devoir jouer les nounous pour vous sortir d’ici...

Le regard d’acier bleuté se posa sur la plus réceptive des adolescentes et fit un petit sourire crisper.

Bobby- Écoute. Je suis pas un foutu flic. La vieille salope ne va pas laisser sortir personne de vivant. Son pouvoir est trop grand et elle a appris à brouiller les cellulaires... Elle fait des raté avec l’électricité.

Il respira doucement et ouvrit son son sac en grognant de frustration avant de sortir du sel et placer le flacon dans les mains de la cheerleader.

Bobby- Tu dois mettre tes amis dans un foutu cercle de sel, car c’est trop pur pour elle. C’est une protection. Vous allez cracher de la vapeur si elle est là... Elle est frigide la vieille saloperie.

Il fit un petit sourire compréhensif.

Bobby- Je dois vous mettre en sécurité et quand elle sera détruite les portes vont s’ouvrir. Je dois trouver un truc personnelle ou bien un morceau d’elle, comme des cheveux ou bien du sang, qui la rattache encore dans notre monde...

Un nuage de vapeur sorti alors des lippes charnues du vieux briscard et la forme effrayante de la femme torturer apparut. Arrachant la barre de fer des mains de la jeune femme, Bobby balança un coup puissant qui fit s’envoler la cauchemardesque apparition. Redonnant la barre à l’adolescente, le vieux chasseur dit tout bas.

Bobby- Oui je suis un vieux sénile, mais je sais ce que je fais... Rester ensemble comme dans les foutu films d’épouvante et non chacun de votre côté. Cercle de sel et si vous voyez un truc louche à part ma gueule de porte-bonheur ou bien un soupçon d’intelligence dans le regard du type qui pense me casser la gueule, juste à me le dire...

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