Annaïs Forbes

L’enfance d’Annais n’est pas très palpitante. Dès le jeune age, on s’aperçu qu’elle serait un enfant colérique, elle frappait quiconque l’énervait et brisait beaucoup d’objets...mais le psychologue disait que sa se réglerait avec l’adolescence. Ce qui ne fut pas le cas.

C’était un après-midi froid d’hiver.  Annais était à l’école en train de gribouiller dans son cahier d’Histoire. Elle détestait l’histoire. Ça l’énervait de voir à quel point leurs ancêtres avait pu être aussi incompétents. Assise devant elle, il  y avait cette fille que tout le monde détestait et qui cachait la vue de quiconque était assit derrière elle.  

Furieusement, Annais arracha une page de son manuel et la lui lança derrière la tête. En la traitant d' Hippopotame. Au même moment, on frappa à la porte de la classe  et le professeur s’empressa d’aller répondre. Il y eu plusieurs minutes d’attente et celui-ci fit signe à Annais d’aller rejoindre le directeur. La jeune fille leva les yeux au ciel , attrapa son sac et sorti de la classe. L’homme lui demanda de le suivre jusqu’à son bureau. Pourquoi? Elle n’avait rien fait de mal. Elle n’avait pas hurlé après personne, ne s’était pas battu et n’avait rien cassé.
En entrant dans le bureau, elle aperçu 2 policiers. L’un d'eux prit la parole.

Il lui annonça le pire qu’une adolescente puisse imaginer. Ses parents étaient morts.
Elle se mit à hurler et donna un coup de pied au bureau, ce qui lui fit mal et n’arrangea rien à sa colère. Elle fit tomber le fauteuil, attrapa la tasse de café et la lança contre le mur, elle poussa le policier et sorti de la pièce en courant. Elle alla ce réfugier dans une salle vide et pleura. Pleura comme elle n’avait jamais pleurer....

Elle était dans l’autobus. L’autobus qui la mènerai chez sa grand-mère. Elle n’avait aucunement envie d’y aller. Mais elle n’avait pas trop le choix. Elle colla sa tête contre la fenêtre et ferma les yeux. Visualisant le visage de ses parents. Sa mère, si douce et si gracieuse avec ses long cheveux blonds et ses yeux bleus chaleureux.  Son père, un homme plutôt bedonnant, chauve et myope. L’adolescente senti les larmes lui monter au yeux et descendre doucement sur ses joues.

L’autobus arriva finalement à destination : Huntfield. Une petite ville sans histoire apparente. Elle sorti et aperçu, un peu plus loin sa grand-mère qui lui fesait signe. Voilà. Sa nouvelle vie commençait. Orpheline et obliger de vivre chez une vieille cinglé qui adorait les chats. Le chauffeur du bus aida la jeune fille à mettre ses valises dans la voiture.

Enfin, elle entrait dans sa nouvelle chambre. Qui sentait le savon pour personne agés. Elle fit quelques allé-retour cherchant ainsi tout ses effets personnels. Durant les jours qui suivirent, elle entreprit de décorer sa chambre  et s’inscrivit à l’école. Il ne restait qu’à attendre le lundi suivant.