III.01 - Set the world on fire

Mois d’octobre. Il fait un peu frais en octobre. Le mois de l’Halloween. Le 31 octobre. Dire que maintenant, les enfants cours dans les rues faisant du porte à porte demandant des bonbons. Très peut de gens savent les origines de cette fameuse fête. Phoenix connaissait ses origines. Une fête qui célébrait le changement de saison en Irelande et écosse et sur l’île de man. Une fête qui célébrait les morts, enfin Presque.

Phoenix avait des affaires à faire. IL y avait certaine personne qu’il devait rencontrer. Car non seulement Caym était un allié de Valafar, mais Phoenix n’aimait pas les surprises. Il devait le rencontrer afin de lui parler sérieusement de certaines affaires. Voyez-vous, il avait tué Lilith et Phoenix voulait savoir la raison. Car non seulement, il ne pouvait plus la demandé à Valafar, mais maintenant, il devait trouver Caym pour le lui demander et Phoenix n’avait pas peur de ce démon. Il ne lui restait que cela à faire. Une fois fait. Il saurait et il pourrait prendre sa decision. L’éliminer ou bien l’aider à vivre. Car il savait très bien que les pro Lilith allaient vouloir sa peau. Et Ce rapidement.

Phoenix était présentement sur le bords d’un lac, seul. Il le regardait. Il faisait noir. Très noir avec pour seule lumière la pleine lune blanche qui reflettait sur le lac. Phoenix avait choisi cet endroit, car non seulement il trouvait cela reposant, mais aussi que c’était un endroit parfait pour rencontrer un de ses confrères. Les questions qu’il avait pour lui était urgente. Il devait savoir et ce rapidement. Il avait bien des choses à faire. Des personnes à informer et surtout. Empêcher ou ne pas empêcher la destruction de caym.

Le seul que Phoenix connaissait qui pourrait un jour avoir une dent contre lui était Renaud, car Renaud était un pro Lilith. Pas comme Phoenix. Phoenix lui, la respectait. Il l’avait respecté et n’avait jamais pris de contrat contre elle. Jamais. C’était une de ses règles lorsqu’il avait accepter d’être le bras droit de son ami Valafar et aussi de son meilleurs employeurs.

- Nous devons discuter Caym.