Nous sommes en Mars et Avril 2019.En Mars, le printemps pointe doucement le bout de son nez mais il fait encore frais et pluvieux.En Avril, il y a des beaux jours ! Mais aussi d'autres avec de la pluie qui ne cesse pas.
Le monde a tremblé... Du sang a coulé et ce qui n'aurait jamais du avoir lieu s'est produit : Une porte des enfers a été entrouverte.
Le monde a tremblé... Et il est grand temps pour vous de prendre part à cette guerre qui se dévoile à l'horizon... Amis ? Ennemis ? N'hésitez pas à nous rejoindre ! Mais sachez que votre choix scellera le destin de chacun !
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Quand je vis mon patient se sentir de plus en plus mal, je regardai plus attentivement la fiole que j'avais en main et que j'avais injecté à l'humain. Oups? Je m'étais peut-être un peu trompé de fiole! Ce que je lui avais donné ne réveillait pas vraiment, c'était même plutôt le contraire. Bah tant pis, ce n'était pas le fin du monde non plus! Il allait simplement s'endormir tranquillement. Je pourrais le soigner pendant son sommeil, si l'envie me prenait. Ou bien lui insuffler quelque chose d'un peu plus sournois. Une maladie qui le tuerait à petit feu, sans même qu'il ne s'en rende compte. Je me faisais déjà plein de plans en tête, imaginant comment j'allais pouvoir m'amuser. Oui, j'étais un sadique. J'étais parfaitement au courant de ce fait et je ne comptais pas vraiment changer ma manière d'être, n'en déplaise aux mortels de ce monde! Et parlant de mortels, mon patient s'était relevé, se rendant compte que ce que je lui avais donné n'était décidément pas quelque chose qui allait l'aider à tenir le coup et rester éveiller. Il se rendait peut-être compte que je n'étais pas si gentil que ça même? Ou pas, pour l'instant, il cédait tranquillement aux effets de la morphine, sans pouvoir y faire quelque chose. Il avait beau lutter, la morphine allait l'emporter. C'était parfait ainsi. Mais l'humain était tenace, trop à mon goût finalement. Je le regardais tranquillement, sans faire un geste pour l'aider alors qu'il se rendait à la porte et l'ouvrait pour ensuite s'effondrer dans le corridor. Bon, mes possibilités venaient de disparaître. Si seulement il était resté sagement dans mon bureau de consultation! Mais non, monsieur devait se rendre à la vue de tous. D'ailleurs, j'entendis une infirmière lâché un petit cri de surprise et se précipiter à la rescousse de mon patient. Je pris un masque surpris et affolé et me rendit aussi aux côtés de l'infirmière.
- Il est dans un grave état, il faut le transporter aux urgences!
Rapidement, je lui expliquait tous ses symptômes et lui dit même de quoi il souffrait, bien qu'elle ne semblait pas trop me croire. Pourtant, c'était vrai. Je le savais, c'était moi qui lui avait donné cette maladie! Mais ça, je ne le lui dis pas. J’apostrophai deux autres employés pour qu'ils mènent mon patient aux urgences. Je ne pouvais pas finir mon œuvre sur lui, mais ce n'était que partie remise. Je n'aimais pas laisser mon travail incomplet. J'attendis que les infirmiers disparaissent de mon champ de vision avant de retourner dans mon bureau. J'avais le dossier de cet homme et je m'arrangerais pour le revoir, vraiment.
Mer 24 Juin - 15:07
Invité
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Avant qu’il ne tombe totalement dans l’inconscience, il fut encore porté quelques minutes durant par Morphée qui se trouva sans doute devenir miséricordieux pour lui accorder ainsi un temps –bien que trop court- lui permettant d’entendre le remue ménage qu’avait causé son apparition à l’accueil où il s’était rendu en quête d’aide. Il y eut un cri des paroles sourdes, il entendit à nouveau la vox du docteur Porter. Il savait que s’il avait eu la force de se trainer jusqu’à l’entrée et même d’entendre quelques secondes après être tombé au sol c’était tout simplement parce qu’il avait un métabolisme plus résistant. Quoique… Il n’en avait aucune idée, c’était juste la dernière chose qui lui traversa l’esprit avant qu’il ne soit engloutit dans les ténèbres qui l’habitaient.
Il reprit difficilement conscience dans une chambre blanche. Il ricana intérieurement en pensant à cette phrase cliché lue et relue dans les livres ou mise en scène dans des séries à l’eau de rose : « si blanche qu’elle lui fit mal aux yeux. » Ce n’était pas le cas. Le blanc éclaircissait la pièce mais n’était en rien agressif pour ces pauvres rétines. C’est alors que s’engagea une course entre ses sens.
Première fut la vue, très vite suivie par le goût quand il se rendit compte de l’arrière goût qui persistait au fond de sa gorge ainsi que de l’assèchement de cette dernière. L’ouïe se rappela à son bon souvenir quand il entendit une porte claquer au loin, ce qui lui fit tourner la tête. Il respira un grand coup, faisant fi de cette odeur de médicament qui semblait avoir imprégné même les murs. Et, dernier parmi les autres sens, le touché fit son grand retour quand il se passa une main sur le visage, tentant vainement de chasser les restes de sommeil qui semblait vouloir l’accompagner un peu plus longtemps.
Il tenta de remettre ses idées en place. Il avait été idiot de faire ainsi confiance au médecin de la sorte. Il avait stupidement pensé qu’un médecin peu importe son alignement ne ferai pas la différence et tenterai de sauver le plus de vies possibles, sans prendre en compte l’alignement de ces derniers. C’était pour cela que cet homme, un Suisse si sa mémoire ne lui faisait pas défaut, avait crée la Croix Rouge. Sauver des vies, peu importe le côté de ces personnes. Mais apparemment il s’était lourdement trompé et avait failli le payer cher. Quel idiot il avait été !
La porte de sa chambre était fermée mais pourtant, plus il reprenait pieds, et plus il sentait un regard posé sur lui. Il se retourna, et vit que le docteur Porter se tenait là, entre les deux fenêtres qui habillaient le mur opposé. Le soir commençait à tomber sans que la pièce ne devienne sombre pour autant. Blood se crispa.
« Que faites-vous ici ? » cracha-t-il, le regard durcit par la colère.
Mer 1 Juil - 23:36
Invité
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J'aurais pu laisser cet humain. J'aurais pu aussi ne rien lui faire au commencement et simplement le soigner. J'aurais aussi pu ne pas me rendre à son chevet pour le voir se réveiller, sortir de sa torpeur dans laquelle je l'avais plongé. Si j'avais fait tout cela, je ne serais pas digne de porter le titre de Cavalier de l'Apocalypse. N'étais-je pas La Peste après tout? Père de toutes maladies. Pestilence, le cavalier montant un cheval blanc. J'existais afin de transmettre les virus et les maladies parmi les humains, ces faibles créatures. Je me devais de les éliminer après des mois d'agonie ou bien les abattant avec cruauté, sans même qu'ils ne puissent s'en rendre compte. J'étais sournois et en même temps évident. J'avais vraiment plusieurs facettes. C'est pourquoi j'avais changé d'avis face à cet homme. Au départ, je l'aurais laisser filer, après l'avoir guérit en partie du moins et je me serais arrangé pour aller l'éliminer plus tard. Les humains disent que seuls les fous ne changent pas d'idée, je ne devais pas être un fou alors, puisque j'avais changé d'idée! CQFD! J'allais lui faire une fleur. Oui, pour une fois, je serais sympathique. Je n'allais pas le tuer. Cela ne m'apporterait rien, aucune satisfaction après tout. J'allais lui révéler mon identité. C'était gentil non? Oui, j'étais assez sûr de moi, sans craindre personne et encore moins un seul homme. C'était une petite idée que j'avais eu, comme ça. Mon patient était désormais dans une chambre, sous la garde de gentillesses infirmières, mais en tant que médecin, j'avais l'autorité nécessaire pour avoir un tête à tête avec ce cher patient! Je m'étais simplement assis, les bras sur les accoudoirs du fauteuil et je pianotais distraitement, en attendant le réveil de l'homme. Heureusement, je n'eus pas trop à attendre. Dans le cas contraire, j'aurais, encore une fois, pu changer d'avis et le tuer. Il sortit lentement de son inconscience et son regard tomba finalement sur moi. J'étais assis entre les deux fenêtres, il devait avoir un peu de difficulté à voir tous mes traits dans cette pénombre qui débutait. Je me levai donc et fit un pas vers l'avant alors qu'il me demandait ce que je faisais là, avec une pointe de colère dans la voix. Monsieur était fâché?
- Je venais voir dans quel état vous vous trouviez mon cher.
Ma voix aussi avait changé. Fini le gentil médecin inquiet, il parlait vraiment au cavalier en ce moment.
- Vous étiez vraiment une toile incroyable, vraiment, ça doit être pour cela que je ne vous tuerai pas. Et je vais même te dire qui je suis, puisque personne ne va te croire après la dose de morphine que je t'ai donné, on va croire que tu hallucinais. Vraiment, j'adore l'idée que j'ai eu d'être dans cet hôpital, et l'ironie de la chose rend tout cela encore plus parfait.
Je m'approchai un peu afin de venir chuchoter à l'oreille :
- Je suis La Peste, cavalier de l'Apocalypse, enchanté!
Je me relevai avec un sourire avant de prendre son dossier et sortie une crayon d'une poche :
Je signai le dossier et le remit à sa place avant de sortir de la chambre après un dernier sourire pour l'homme. J'aimais beaucoup ma petite mise en scène. Me croirait-il? Peu m'importait, je m'étais bien amusé!
Spoiler:
HJ: J'espère que ça te convient comme fin, puisqu'on a changé d'intrigue, j'ai préféré arrêté ici. Merci beaucoup j'ai beaucoup aimé
Dim 5 Juil - 17:22
Invité
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Ce n’était peut-être qu’une impression, mais quelque chose était différent dans la posture du docteur Porter. Il était toujours sûr de lui, bien évidemment, mais il se présentait lui-même d’une telle manière que l’on pouvait presque voir toute la bienveillance dont il s’était habillé échouer lentement sur le sol, comme un haillon défait dont on ne veut plus. Dans un fauteuil entre les deux fenêtres, la lumière entrant dans la pièce lui donnait un air cruel, revanchard. Les entrailles de Blood se tordirent un peu quand il pensa qu’il avait devant lui le véritable Docteur Porter et qu’il n’était peut-être pas aussi sympathique que ce que son air bonhomme laissait penser. Il avait la désagréable impression de n’être qu’une souris face à un chat.
Sa voix également s’était métamorphosée quand il l’entendit lui dire qu’il venait voir comme il allait. C’était comme s’il avait en face de lui un autre homme mais qui possédait les mêmes traits que le médecin. Blood pensa qu’il était peut-être posséder, mais il ne voyait pas clairement les yeux du médecin avec cette lumière calamiteuse. Se levant de son fauteuil et s’approchant petit à petit de lui, le médecin continua à parler, son discours tendant à confirmer l’idée de possession que le chasseur avait eu. Mais le pire était qu’il n’avait été que l’objet d’une mascarade dont il ne s’était pas du tout rendu compte ; c’était un coup porté à son égo dont il aura du mal à se remettre. Quelques mois à Huntfield remettaient en question plusieurs années de pratiques, le gratifiant d’une expérience nouvelle tout en le roulant dans la boue de ses échecs.
L’homme en face de lui, qui s’avançait d’une façon assurée, presque prédatrice, était sans aucun doute un être démoniaque. Restait à savoir de quel genre de démons il s’agissait. Blood se redressa difficilement tandis que l’autre était désormais près du matelas de son lit. Grimaçant face à son corps encore endormi, il parvint à se mettre à une hauteur raisonnable. Il le vit alors se pencher vers lui et lui murmurer sa véritable identité à l’oreille. Et alors son sang se glaça instantanément dans ses veines.
C’était bien au dessus de ce qu’il aurait pu penser. Un démon primaire, l’un des premiers et pas le moins puissant. Voilà ce qu’il avait en face de lui. Cela expliquait le fait qu’il ait attrapé une maladie canine et le fait qu’il s’était retrouvé si faible. Quel idiot ! Il vit le médecin se relever et se saisir de son stylo. Et, même s’il lui avait dit qu’il ne le tuerai pas, Blood pensa à toutes les manières dont on pouvait se servir d’un stylo pour faire du mal. Et puis, quelle parole pouvait avoir un Chevalier de l’Apocalypse. Mais, après lui avoir dit une dernière banalité, il signa la feuille de soin, la remit en place et s’en alla tel un Prince venant de conquérir une nouvelle contrée.
De rage, Blood saisit la tasse remplie d’eau présente sur une table à côté de lui et la lança de toutes ses forces contre le mur le plus proche.
Spoiler:
HJ : Désolée mais je ne pouvais pas résister de poster pour mettre la réaction finale de Blood là dessus >w< Merci pour ce RP je l'ai beaucoup aimé moi aussi !