III. 04 ❝ Begin again ─ Castiel.
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III. 04 ❝ Begin again ─ Castiel.

Lun 27 Juil - 19:06
Invité
Anonymous
Invité

Petite emmerdeuse, songeait-elle. Incapable d'agir à l'exemple d'une individue parfaitement normale. Pas certaine qu'elle s'en soit rendue bien compte, toutefois, Olympe engendrait à son tour, la méfiance, à sa façon. La voilà, incapable de raisonner calmement. Non c'est un fait, elle n'avait guère agressé quiconque, s'étant seulement contentée de tirer la tronche, presque une journée entière. Faut dire, que blondie n'avait pas manqué de sombrer une nouvelle fois, dans une morosité extrême, à l'encontre de son enthousiasme traditionnel. Généralement, Olympe supportait difficilement la contrariété, néanmoins ce ne fut pas plus qu'un énorme bordel, tant elle tentait encore de se délecter de ses obligations habituelles. Chaque jour, enlisée davantage dans sa solitude exacerbée, son unique souhait, subsistait hypothétiquement de passer sa journée vautrée dans son lit, crachant son venin à l'encontre du monde entier. Rosenbach souffrant intérieurement de cette nervosité extrême, durant laquelle tout et/ou rien, suffisait à véritablement l'engrainer. Après tout, n'était-ce pas l'unique responsable ? Hélas, personne d'autre à sa place, ne pourrait traiter ses propres troubles comportementaux, si elle refusait désespérément de le faire. Particulièrement bancale, la jeune australienne semblait bêtement vaciller d'une extrémité à l'autre, sans même ne parvenir à déceler cette stabilité franchement manquante, à son quotidien, pour le moins, atypique. Depuis, son arrivée à Huntfield, les rares décisions qu'elle s'accordait, ne devinrent à l'avenir, pas davantage que des contradictions, mêlées à une désolation, presque déconcertante. Après tout, il ne serait strictement d'aucune utilité que de prétendre à l'inverse, sa colère excessive envers et contre tous, ne remédiait guère à ce sentiment de vulnérabilité grandissant, au fil des années. ; Cinglée, c'est ce que tu es, et ce dont tu seras, disaient-ils. Foncièrement, blondie ne pouvait que leur donner raison. Son aspect détaché du premier abord, ne s'avérait pas concrètement suffisant face à plus solide qu'elle ne le sera jamais. Rosenbach avait possiblement omis volontairement leurs noms, lors de son départ de Perth, cependant, espérer mieux subsistait encore l'unique illusion à laquelle elle pouvait se raccrocher, sans y distinguer leur mépris. Faut croire que les habitants de Huntfield, s’avéraient, à peine plus tolérants, ou littéralement, blindés aux comportements douteux.

Blondie ne pouvait dans l'immédiat, aspirer à davantage. Seule l'idée de terminer sa journée un brin plus tôt qu'à l'accoutumée, lui permettait encore, de ne pas s’effondrer délibérément face, aux regards inquisiteurs et hébétés, d'enfants dont elle restait prioritairement responsable. Son intense remord, que d'avoir brusquement stoppé ses études, pour s'employer à une bande de gamins -dont blondie détestait, leur unique présence-. Une situation improbable dont elle fut, la seule fautive, comme toujours, me direz-vous. La voilà, franchissant hâtivement la rue piétonne, sans même ne prendre cette peine que de jeter un rapide coup d’œil aux véhicules, occupant eux-aussi, la route. Toute la problématique, se condensait éventuellement, à cet instant, à ce je-m'en-foutisme, franchement explicite. Son chemin, s'avérait -sans jugement péjoratif-, inlassablement identique à celui qu'elle s'octroyait, chaque jour. Olympe, se dirigeait inlassablement en direction du café, qu'elle consommerait probablement sur place, ou à emporter, au grès de ses humeurs intempestives. Et comme toujours, blondie n'en touchera certainement pas, la moitié. Ses clés -profondément inutiles, qui plus est- d'une main, son téléphone de l'autre, et Rosenbach, tentait vainement de replacer son sac sur son épaule, qui jusqu'alors, n’eut cessé de glisser le long de son bras, futile détail pour beaucoup, qui entachait sans étonnement la patience déjà limitée, de la jeune australienne. Toutefois, la blonde ne fut pas au bout de ses peines, lorsque tête baissée, elle heurtait brusquement un individu dont, elle n'eut pas distingué la présence, au préalable. Elle-même se questionnant encore, quant à son agilité, soudaine, pour ne pas daigner ce réflexe malheureux, que de lâcher la totalité de ses affaires, dans la collision. ─ Je suis désolée. Lançait-elle, aussi précipitamment, que froidement. Politesse, pour politesse, son épaule se souviendrait probablement, quant à elle, de ce moment pour quelques jours, encore, bien que son air, étrangement indifférent, lui permettait de ne rien laisser transparaitre. Ayant ainsi, carrément plombé son rythme effréné, Olympe se limitait dans l'immédiat, à un bref regard regard accusateur, bien qu'elle n'en fut pas moins, désireuse de déverser toute son agressivité à l'encontre de la personne concernée, ce dont elle semblait, dans un premier temps, lui épargner, étonnamment.
Mer 29 Juil - 3:45
Invité
Anonymous
Invité

Ariel, un retour aussi surprenant qu'improbable, une nouvelle plus que joyeuse pour un frère luttant sans cesse contre les forces du mal. Castiel avait besoin de renfort car les victoires se faisaient de plus en plus rare, depuis le retour de l'enfant terrible des abysses de l'enfer, Lucifer. Il y avait aussi l'un de ses semblables, le frère chéri de l'ange, Urakaba, qui désormais avait trahi la voie de Dieu. Comment cela pouvait-il être possible ? Les Êtres Célestes commencèrent à se diviser, causant de plus en plus de problèmes dans ce combat contre la fin des temps. Purifier la Terre des démons pour la liberté de l'homme ou encore provoquer l'apocalypse pour tout recommencer ? L'avenir était imprévisible mais Castiel se concentrait, grâce à ses nouveaux dons, à détruire le mal, exécuter le travail de Dieu lui-même. Depuis le tout premier jour où on lui a donné cette mission de veiller sur les Winchesters, jamais l'angelot ne s'était détourné cette voie soit celle de protéger les Hommes.


Marcher, se mêler au groupe de Huntfield, voilà ce que Castiel avait décidé de faire en cette journée. Il ne prenait plus le temps de vivre avec les humains, observer leurs manières, analyser leurs comportements. Toujours de sa veste marron, il marchait les mains dans ses poches, pensant à cette femme, Mary Steward, l'hôte d'Ariel sa sœur. C'était justement la dernière fois que l'ange avait pris le temps de se mêler au peuple, pour surveiller celle qui tentait de faire basculer son cœur. Un amour impossible certes mais quelque chose de fort et sérieux se passait entre eux, entre l'amour d'un frère envers sa sœur, Ariel, et l'attachement d'un ange envers une humaine. Une situation très compliquée il allait s'en dire. Il se devait de la protéger car il savait très bien que les démons, des créatures de toutes les sortes tenteraient de s'en prendre à elle a cause du combat de sa sœur Ariel. 


Toujours la tête dans les nuages en jetant des regards de l'autres côté de la rue, il pensait à elle, sa chevelure blonde dans le vent, un visage si doux et délicat. Elle avait ce petit brin de timidité et la peur de s'exprimer et décevoir les autres. Castiel arrêta de marcher soudainement, une vision troublante le frappant de plein fouet à la vue de cette magnifique beauté en détresse. Mary... pensa-t-il un bref instant avant de se rappeler qu'Ariel était de retour. Non elle n'avait aucun problème mais marchait terriblement vite, perturbée par quelque chose, ou tout simplement pressée de rentrer chez elle qui sait. Une voix intérieure, s'il devait y en avoir une pour un ange, ou plutôt son instinct angélique lui disait qu'il devait aller la rejoindre, faire connaissance. Était-ce le signe qu'elle devait être protégée étant vouée à un bel avenir ? Où simplement sa ressemblance avec Mary qui hantait l'ange ? 


Tout comme s'il avait planifié ce plan durant plusieurs semaines, l'ange se téléporta tout juste devant elle alors qu'elle avait le regard penché vers le sol causant ainsi la collision avec la blonde. D'un ton froid et rapide, elle s'excusa à Castiel qui s'empressa de mettre la main sur l'une des épaules de la jeune femme pour entamer la conversation sans savoir si elle serait offusquée de se faire toucher par un inconnu. 

Non, c'est moi qui est désolé. Je marchait sans vraiment regarder où je me dirigeais alors pardonnez-moi.


Elle avait un magnifique regard mais plutôt agressif en ces instants, étant sans doute fâchée de cette collision volontaire de Castiel. L'ange pouvait différentier les expressions humaines depuis le temps qu'il était sur Terre et se rappelait d'une technique de Dean Winchester, qui invitait souvent les jolies filles à prendre un café ou une bière au bar. 


Je peux vous payer un café ? J'aimerais vraiment beaucoup me faire pardonnez si vous aviez quelques minutes... Plusieurs minutes devant vous ?


Maladroit mais tout en restant sympathique et sans avoir l'air trop ridicule. Puis après tout le pire qui pouvait arriver serait un refus de la jeune femme.  
Mer 29 Juil - 22:58
Invité
Anonymous
Invité

Blondie n'en fut guère certaine, toutefois son quotidien s'avérait particulièrement différent d'un pays à l'autre. Son départ de Perth, n'étant au commencement, pas davantage qu'un singulier, synonyme de renouveau. Olympe appartenant ainsi, à cette catégorie grandissante, d'individus, qui ne témoignent aucun remord à l'idée de tout foutre en l'air, aussi précipitamment soit-il. Défaitiste exacerbée, l'Australie ne représentait dans l'immédiat, pas davantage qu'une parfaite contrariété, dont elle aurait préféré s'épargner les désillusions, dès le commencement. Son vivant n'était au premier abord, pas aussi distinctif, des autres habitants, cependant, l'apparence ne représente, jamais véritablement, la totalité de qui nous sommes, et Rosenbach, en subsistait l'exemple typique. S'octroyer une allure pleinement normale, ne signifie pas, l'être réellement, sur le plan psychologique. La voilà, se délectant fermement des difficultés survenues récemment aux yeux de tous, simplement parce qu'elle ne pouvait concevoir, une existence divergente à celle du genre humain. Avoir l'esprit finement communicatif pour écouter, est une chose, accepter une réalité, en est une autre. Une majorité, affirmerait sans ménagement, combien, Olympe est irrémédiablement assez dingue, pour concéder à l'impensable, tant elle n'aurait concrètement pas la moindre opinion, sur ce qu'elle considère ne pas la concerner, directement. Aborder chaque croisement, sans songer une unique seconde, à l'être probablement irréel, procédant de façon, faussement identique à la sienne. D'ailleurs, ce fut ainsi, que la blonde arpentait une nouvelle fois la rue piétonne, d'un rythme effréné. Rien, ni personne, ne semblait dans un premier temps, s'avérer susceptible de bousculer ses planifications aussi futiles, qu'habituelles, si ce n'est à l'exception, d'une seule. Tête baissée, Olympe ne lui avait, au préalable porté aucune attention, heurtant par conséquent, un parfait inconnu. La jeune australienne, se surprenant presque instantanément à rétorquer froidement un mécontentement évident, circonscrit hâtivement en maigre excuse. À peine venait-elle d'achever, ces quelques mots, que la blonde y distinguait un homme, dont elle constatait indéniable, quant à ne l'avoir jamais croisé, auparavant. Possiblement serait-ce s'avancer trop vivement, cependant, son empathie du moment, lui permettait encore, de ne pas s'attirer la totalité, de ses foudres. Ses prunelles accusatrices de ces premières secondes, s'adoucir, presque instantanément, aux paroles de l'inconnu, dont la sincérité ne semblait plus à démontrer. Une main sur son épaule, et Rosenbach, tentait vainement de ne pas y apporter la moindre importance. Après tout, quelle utilité que de prétendre à l'inverse, enfant déjà, cette fille, n'a jamais été particulièrement tactile, ce n'était irrévocablement pas aujourd'hui, que les choses changeraient. Toutefois, Olympe, n'en répliquait pas davantage, assidue aux propos qui suivirent, les précédents. Une suggestion, que la blonde aurait sciemment refusé à l'accoutumée, mais à laquelle, elle s'octroyait une courte échéance utile à la réflexion. Ses prunelles azur, lorgnant spontanément, l'individu lui faisant face, ne laissèrent rien transparaitre quant à son ressenti, définitif. Soupirant légèrement, Rosenbach, détournait lentement le regard, tout en s'agitant doucement sur elle-même. ─ C'est-à-dire, que je... Que rien du tout, ouais. Tu n'étais, seulement pas du genre à partager ta pause café, en compagnie d'individu, dont tu ignorais l'identité. Cependant, aussi surprenant soit-il, ce n'est qu'après avoir décroché un rapide coup d’œil, en direction du sol, que la jeune australienne, vint rétorquer à nouveau, d'un ton, parfaitement anodin, l'air faussement dubitatif. ─ C'est déjà oublié, mais si vous y tenez. Venait-elle, d’acquiescer d'un infime haussement d'épaules. Ses prunelles fixes jusqu'alors, ne cessant de vriller inlassablement, de sa nouvelle rencontre, à l’extrémité de la rue piétonne. Impassible dans un premier temps, Olympe, transgressait systématiquement inébranlable à la limite de l’inaccessibilité. Possiblement, une façon à l'exemple de bien d'autres, de se protéger de tout, mais aussi du monde entier. ─ Alors, c'est ainsi, votre façon d'aborder les gens. Ne serait-ce pas un peu agressif ? S'amusait-elle, concédant à atténuer quelque peu l'atmosphère, à son tour. ─ Sans méchanceté aucune, je vous conseille sincèrement, de revoir votre approche. Heurter consciemment n'était guère dans ses cordes, cependant, faire preuve de franchise à l'encontre d'une vérité, même dérangeante, blondie, ne pouvait s'y opposer. Ses prunelles, bien que toutes aussi instables que son psychique, s'immobilisèrent finalement sur le nouvel arrivant. ─ Quel est votre nom ? Lançait-elle, spontanément, tout en dévisageant ce dernier, d'une ténacité, presque extrême. Comme tous ceux, s'étant déjà hasardés à un échange, aussi futile soit-il, en sa compagnie, ce dernier prendrait vivement conscience de combien, blondie, n'est pas plus qu'une cinglée, à la paranoïa franchement déconcertante. Et de son imperceptible sourire en coin, la jeune australienne l'invitait à interrompre cet instant de surplace, afin de se diriger en direction du café, situé, non loin. Son lieu de prédilection, bien avant leur collision.  
Dim 2 Aoû - 2:55
Invité
Anonymous
Invité

Allez Castiel, il faut faire la fête ! mentionnait aussi souvent que possible Dean Winchester lors de ces petites soirées dans les bars en bonne compagnie. Il avait cette habitude de croiser ces femmes, un bon après-midi, en provoquant une collision tout en s'excusant pour ensuite les inviter à prendre un verre. Quelle drôle de manière les humains avaient pour se rencontrer et discuter non ? Pourquoi ne pas simplement parler, inviter une personne que l'on trouve particulièrement attachante à prendre un bon repas ? Évidemment, Dean avait ses ratés et plusieurs claques au visage au cours de ses nombreuses séances de courtise mais sans doute que cela en valait vraiment la peine. L'ange avait déjà fait cette expérience agissant de manière très maladroite envers une demoiselle mais bon, il devait apprendre à comprendre les hommes. 


Cette fois-ci. Castiel avait décidé d'aller à la rencontre de cette femme et d'user de cette stratégie anodine pour l'aborder. Une nouvelle protégée ? Bien sûr que non puisque l'angelot semblait voir Mary de part l'apparence de cette jolie blondie. Peut-être était-ce un signe d'ailleurs qu'elle serait vouée à un grand avenir ? Quoiqu'il en soit l'ange se téléporta droit devant le trajet tumultueux de la jeune femme pour se heurter contre elle, visiblement insultée légèrement de cette maladresse. Par instinct, l'ange l'invita à prendre un café et sombra dans une phase de pensée intense, tomber dans la lune pour les humains. Pendant que la blondie réfléchissait à la proposition de Castiel, il observa la jeune femme d'un oeil attentif sans qu'elle ne pense qu'il est un fou allier, un fanatique dévisageant sa victime sans perdre une seconde. Une magnifique bouche et une chevelure tout en douceur, restant à l'écart sans vraiment se lancer des les touchers amicaux. Elle a tout de Mary d'apparence pensa Castiel avant de reprendre ses esprit devant la déclaration de l'humaine qui trouvait son approche plutôt agressive. 


Je reverrai mon approche la prochaine fois mais disons que je n'ai pas l'habitude de me rapprocher des gens habituellement. Je suis plutôt du genre indépendant.


Castiel avait dit tout cela naturellement comme s'il ne ferait pas cela à n'importe quelle fille mais après tout c'était la vérité. Elle pourrait sans doute imaginer certaine chose puisque dans un sens si l'ange ne faisait pas ca avec tout le monde, c'est que dans un sens, il avait choisi sa victime. Et si ? Non Castiel devait arrêter de se poser des questions et faire son possible pour agir comme un humain. Il se contentait de répondre à sa question alors qu'elle le fixait lourdement. 


Castiel... mais vous pouvez m'appeler Cas'. Serais-je impoli de vous retourner la question ?


Les deux se dirigèrent ensuite vers le café pour prendre un moment de répit et cela faisait sourire Castiel. La dernière fois qu'il était aussi bien et heureux devait remonter au moment où Mary Steward était là. Il avait savourer chacun des moments en compagnie de sa belle et maintenant il allait avoir la possibilité de partager à nouveau la vie humaine avec une autre blondie, sans méchanceté ni mauvaises intentions.


J'espère que vous n'aviez pas quelque chose d'urgent à faire ? Je ne voulais surtout pas vous faire perdre du temps en cette journée. 


Castiel se tenait aux côté de blondie en prenant bien soin de faire attention à elle, comme le petit copain parfait. Maintenant il devait aller boire un café avec elle, lui qui n'avait jamais bu de breuvage humain jusqu'ici. 
Dim 2 Aoû - 20:45
Invité
Anonymous
Invité

Blondie elle n'appartient guère à cette catégorie d'individus pour lesquels aborder de parfaits inconnus est d'une facilité déconcertante, toutefois, elle ne sera certainement non plus, jamais, du genre à s'éclipser, dans l'espoir, d'éviter catégoriquement, toute prise de parole, aussi soudaine qu'anticipée. Olympe, elle est incapable de s'octroyer un temps utile à la réflexion, répliquant tout haut, ce dont il lui traverse vivement l'esprit, aussi précipitamment soit-il. Lunatique, bipolaire, en voilà un nombre incalculable de personnes, malhabiles de faire la différence entre deux adjectifs, pourtant bien distincts. Étonnamment confondus, que la jeune australienne ne transgresse pas d'une phase à l'autre, en moins d'une fraction de seconde. La bipolarité progressant notamment, au grès des mois, et non des heures. Par chance, si on peut dire, cette dernière s'avérait encore enlisée dans une période dont sa détresse psychologique semblait pleinement omise. Autrement dit, pas d'imminentes questions existentielles, auxquelles personne ne trouvait réponse, totalement désarmés, à l'idée de ne pouvoir lui venir en aide, lors de cette morosité, particulièrement extrême. Voilà, que sa nouvelle rencontre n'aurait donc pas à souffrir son acerbité malsaine. Si la blonde, eut fait preuve d'agressivité dans un premier temps, son attitude s'adoucissait tout aussi instantanément au contact de cet homme, fraichement rencontré. Inversement à une majorité d'individus insolites du peuplement, ce dernier dégageait dans l'immédiat, une atmosphère non nuisible, et malgré une approche physique un brin brutale, la sincérité de ses propos, ne semblait plus à démontrer. Très honnêtement, la jeune australienne, substituait intérieurement hébétée par tant de politesse, lucide quant au fait, que la situation aurait pu être davantage contradictoire. Après tout, il fallait bien l'admettre, Il n'était hypothétiquement pas l'unique fautif de cette brusque collision, Olympe, étant une nouvelle fois, embourbée dans son imaginaire carrément, débordant. Et c'est ainsi, qu'elle s'amusait promptement de ces circonstances absurdes, l'ayant étrangement poussés à accepter une invitation, qu'elle se serait empressée de refuser à l’accoutumée. Certainement, un espèce de charisme, fonctionnant concrètement sur un humain de base. La blonde, étant définitivement plus d'un genre, à envoyer piètre de son chemin, quiconque, tenterait d’occasionner un banal échange. Rosenbach, l'observait sans répit, le dévisageant durement, comme si elle se hasardait continuellement à dérober une broutille perturbatrice, vainement.  ─ Et pourquoi ne pas, l'avoir été cette fois ? Lançait-elle faussement interrogatrice, tant ne pas obtenir de réponse, ne lui serait pas, particulièrement dérangeant. Après tout, indépendante, Olympe l'était tout autant, néanmoins, ça ne lui avait guère prohibé de concéder à son habituelle pause café, accompagnée cette fois, d'un charmant inconnu. Détournant finalement son regard fixe jusqu'alors, sur les quelques autres passants, la blonde n'en renonçait pas pour autant, à son traditionnel sourire en coin, à l'allure brièvement enfantin. Tant ils brisèrent enfin, cet instant de sur place, afin de se diriger en direction d'un lieu, qu'elle ne connaissait que trop bien, que la jeune australienne, vint inconsciemment roulait des yeux. Prononcer son propre nom, elle détestait ça, intimement horripilée par ce prénom horriblement vilain, dont elle eut du mal à assumer, dès son enfance. ─ Oké, Cas' dans ce cas. Moi c'est, Olympe, mais je vous l'accorde, pour le prénom on repassera. Venait-elle d'ajouter, un brin distraite et amusée à la fois, comme si elle tentait inlassablement de se justifier, quant à son pseudonyme. Castiel, lui inspirait étonnamment la confiance, celle qu'elle ne distinguait habituellement, chez personne. Certes, cela ne signifiait pas, éventuellement, que Rosenbach ne substituerait pas sur la défensive à l'avenir, cependant, son agressivité soudaine, s'était dissipée plus rapidement encore, qu'elle ne l'aurait imaginé. Son sourire ne disparaissait pas au fil des minutes, possiblement même l'inverse. Un bref mouvement de tête en direction de son interlocuteur, et la blonde mimait une attitude, faussement dubitative, à nouveau. ─ Seulement, impatiente de m'éloigner de cette horrible bande de gamins. J'ai tout mon temps, maintenant. Repris franchement la jeune australienne, d'une attitude, particulièrement indifférente. Ainsi, elle en omettait presque, combien ce dernier, ne pourrait se douter de quoi il s'agissait. Comment pouvait-il, si ce n'est envisager, du tournant absurde, que Olympe s'était elle-même octroyée, en si peu de temps. Malgré tout, elle ne s'enlisait guère dans ce sujet, se focalisant en totalité sur Castiel, qu'elle observait un court instant, avant de finalement reprendre la parole. ─ Et sinon, vous faites quoi dans la vie ? S'interrogeait-elle, le plus innocemment du monde. Question typique, cependant, comment pouvait-elle si ce n'est même songer une seconde -à son tour-, que ce dernier, ne soit hypothétiquement pas d'une existence identique à la sienne. Simple curiosité, ou banale politesse, qu'importe, ou ne pourrait lui reprocher présentement, de n'être pas plus qu'une parfaite égoïste. Enfin, la jeune australienne stoppa une nouvelle fois son chemin, devant le café, tiltant à l'encontre d'un détail, pour le moins stupide. ─ Vous êtes plutôt, sur place ou à emporter ? Venait-elle de renchérir, acquiesçant, ces précédents propos, d'un léger haussement d'épaules, accompagné d'un momentané mouvement de tête. Faut dire, que Olympe appartenait aussi, à cette catégorie de personnes, anxieuses trop souvent pour pas grand-chose, et surtout pour rien. Une apparence indéniablement indifférente, définitivement contradictoire à son réel ressenti.
Jeu 6 Aoû - 1:40
Invité
Anonymous
Invité

Les anges, des Êtres Célestes envoyés sur Terre pour sauver l'humanité de la fin des Temps. Castiel fut le premier et durant tout ce temps passé en compagnie des humains, il tentait d'apprendre, de connaître leurs coutumes, leurs façon de fonctionner. Les hommes se posaient beaucoup trop de questions et ce sentiment, ce petit quelque chose qui parfois rend une personne joyeuse ou triste, si difficile à comprendre pour les anges. La plus improbable des créatures avaient de l'espoir et cela était la plus grande force de l'humain, leurs permettant de faire de grande chose en période de crise. Mais pour toute bonne chose, il y avait un défaut, risquant de causer la perte de l'humanité, ce dure sentiment incompréhensible qu'était l'amour envers une autre personne. Cette folie de tout faire pour quelqu'un au risque d'en blesser d'autres comme les Winchester l'avaient fait en vendant leur âme pour le retour de leur proche. Il y avait cette question de pouvoir aussi qui attirait l'humain, si facilement manipulable par un démon lui promettant la lune. Comment expliquer réellement la race humaine aux yeux d'un ange ? Impossible et malgré tout ce temps passé en leurs compagnies, Castiel ne pouvait toujours pas ressentir cela, prêt à se battre pour n'importe qui et mourir dans sa mission au nom de Dieu lui-même.


En compagnie de Mary Steward, l'ange avait appris un peu plus sur l'amour, mélangeant ce sentiment et celui de l'amour d'un frère envers une soeur. Bref Castiel avait croisé le regard d'une magnifique blonde sur une rue de Huntfield et entrèrent en collision. L'ange tenta de s'excuser en lui avouant devoir changer ses méthodes mais lorsqu'elle répliqua à savoir pourquoi ne l'avait-il pas déjà fait, il fut bouche-bée. Castiel n'avait pas appris à rencontrer les gens '' humain '', du moins la meilleure méthode pour décrocher un rendez-vous.  Ils marchèrent finalement en direction du café où ils prendraient un verre au grand plaisir de Castiel qui venait de se présenter. Olympe, prénom original et appartenant à cette belle blonde au magnifique sourire qui avait hâte de quitter cette bande de gamin. Sans trop poser de question l'angelot commença à marcher tout en l'invitant alors à prendre les devant. 


Allons-y dans ce cas !


Puis elle demanda à l'ange tout naturellement ce qu'il faisait de sa vie de tous les jours. Les mains dans les poches marron de sa veste, il jeta de vifs regard de temps en temps à Olympe tout en lui donnant une réponse.


Pour tout vous dire, j'aide les gens, beaucoup de personnes. Je ne veux pas vous embêter avec mon travail mais c'est un dur labeur et un combat de tous les jours donc je vous remercie pour le moment de détente que vous m'offrez en votre compagnie. 


Il lui fit un sourire très franc, lui déclarant que le minimum acceptable sans se mettre dans une mauvaise situation. Olympe n'avait pas encore conscience de cette vie surnaturelle qui l'entourait, du moins selon ce que pensait l'ange. Ils arrivèrent rapidement devant le café à savoir s'ils allaient emporter ou le boire sur place. Castiel croyait que l'idée de marcher tout en parlant et prenant ce café lui serait bénéfique, pouvant ainsi masquer le fait qu'il ne boit pas comme un humain. 


Je suis d'accord pour emporter et poursuivre cette discussion sur vous maintenant, Olympe. Allons chercher ce café et parlez moi de vous.
Ven 7 Aoû - 3:20
Invité
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Invité

Olympe, elle ignorait pas, non, elle désavouait seulement une supposition, pourtant bien réelle. En outre, elle subsistait au travers d'un déni transitoire, dans lequel, la blonde ne pourrait durablement se préserver. Castiel, pourrait-il, uniquement concevoir les proportions occasionnées, si Rosenbach se devait éventuellement, d'assimiler un jour, quel genre d'être, -différent de l'existence humaine-, était-il, véritablement. La voilà, qui l'observerait un instant, avant même d'y ricaner bêtement, supposant lourdement, combien il pourrait, définitivement déceler bien mieux, en termes de canulars improbables. Assurément, préférait-elle encore se foutre délibérément en l'air, que d'admettre ouvertement, cette possibilité non envisagée, auparavant. Concéder à toutes ces choses, carrément flippantes, la jeune australienne, choisi, irrémédiablement de les négliger froidement. Après tout, pourquoi devrait-elle s'avérer concernée, par une situation, qui dans l'immédiat, ne la concernait, pas, distinctement. Simple crainte d'une réalité déconcertante, ou banal esprit de contradiction, Olympe n'en démordait pas, refusant obstinément de reconnaitre une once, de paranormal, son quotidien n'ayant jusqu'alors, jamais été confronté à telle complexité. Anges ou démons, tous, seraient pour elle, logés à la même enseigne, consciente de ne pouvoir dompter un sujet, lui échappant complètement. Possiblement serait-ce agressif/nuisible de raisonner ainsi, à l'avenir, néanmoins, il ne transgressera possiblement jamais d'une quelconque normalité pour la blonde, que de fréquenter concrètement, ces individus venus, tout droit, de lieux, dont elle préférait une nouvelle fois, feindre l'existence. Et malgré ses nombreuses réticences, c'est sans aucune opinion néfaste, qu'elle concédait aux croyances de chacun. Serait-ce, indéniablement mal placé de sa part, que d'octroyer quelconque jugement inapproprié, à l'encontre de son psychique particulièrement instable.  Et c'est ainsi, qu'elle l'observait, lourdement, lorgnant littéralement ce dernier de haut en bas, tentant obstinément d'y déceler une faille, dont elle n'aurait pas eu connaissance, aux premières secondes. Rien de franchement méchant, quant au fait, que Castiel, dégageait possiblement, malgré lui, une atmosphère atténuante, particulièrement contradictoire, à celle des autres habitants, désespérément oppressants. Toutefois, ses prunelles immobiles de l'instant, vinrent finalement jongler d'un passant à l'autre, si bien, que la totalité de son attention subsistait tout de même, étrangement focalisée sur son interlocuteur. Un détail, accrochant brièvement sa curiosité, quant à sa profession. Pas de qualificatif à proprement dit, mais une représentation laissant -sciemment- planer le doute, pour un humain à juste titre, dirons-nous. Une moue presque imperceptible et son franc parler, reprit instantanément le dessus, poussant brusquement la porte du café, tout en vaillant à ne pas la clore, avant que ce dernier ne l'ai franchi à son tour. ─ Rassurez-moi, vous n'êtes pas flic, au moins ? Venait-elle de s'amuser à nouveau, son regard faussement interrogateur, positionné une fraction de seconde sur Castiel, se reportait tout aussi précipitamment sur la carte, des boissons située, à l'arrière du comptoir. Comme à l'accoutumée, Olympe se contenterait d'un Cappuccino, uniquement parce qu'elle s'avérait la mieux placée pour savoir qu'elle n'en ingurgiterait pas, la moitié. Bras croisés, sa tête vrillait machinalement en direction du brun, son traditionnel sourire en coin, lui octroyant une attitude pour le moins, enfantine. ─ Cappuccino, pour vous aussi, où vous aviez déjà une préférence ? Lançait-elle, sur un ton parfaitement anodin, s'accoudant instinctivement au rebord, tout du moins, le temps que leur commande soit prise en charge. Dévisageant froidement la serveuse, un court instant, la blonde semblait se braquer à la demande de Castiel, un moment auparavant. Relater sa vie, elle en était, littéralement incapable. Fixant le plafond de brèves secondes, Rosenbach se trahissait elle-même, par sa propre façon de se comporter, mordillant nerveusement sa lèvre inférieure, franchement septique. ─ Quoi vous êtes vraiment, sérieux ? Non, parce qu'il y a absolument rien à savoir. Venait-elle rétorquer hâtivement. Rosenbach agissant, vainement, à l'exemple d'une individue tentant de dissimuler, une réalité, déconcertante de conneries. Gesticulant doucement sur elle-même, ses prunelles inquisitrices, scrutant inlassablement le sol, comme si elles n'avaient d'autres choix. ─ Je ne suis pas d'Huntfield, pour être honnête. J'ai tout plaqué égoïstement, en espérant que les choses se passent mieux ici. Se surprenait encore Olympe, répliquant, presque instinctivement, tant son regard s'immobilisait à nouveau, lourdement, sur ce dernier. Cependant, elle prohibait intentionnellement d'en divulguer davantage, seulement parce qu'elle craignait qu'à son tour, Castiel ne soit influencé par ses anecdotes improbables, ne distinguant ainsi, en blondie, pas plus qu'une vulgaire cinglée. La jeune australienne, étant typiquement ce genre de personnes, qui ne supportaient irrémédiablement pas, d'êtres poussées dans leur dernier retranchement, pour qui s'abandonner aussi facilement, semble un challenge insurmontable. Après tout, elle en subsistait pleinement convaincue, ce dernier ne serait pas différent des autres, notamment, en ce qui concerne sa bipolarité extrême. ─ Vous êtes d'Huntfield ? Acquiesçait-elle, d'un sourire, adroitement compatissant, se hasardant à détourner la conversation, outre que sur elle-même. Rien d'excessivement convaincant, malgré ce, l'arrivée de leurs cafés, lui permettrait foncièrement, d'attirer la conversation sur autre chose.
Dim 9 Aoû - 4:21
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Quand Castiel obervait les gens, ces ignorants, il trouvait qu'ils étaient chanceux dans un sens, de vivre leur petite vie tranquille sans se soucier qu'une terrible guerre faisait rage tout près d'eux. L'ignorance était une excellente chose et c'était d'ailleurs ce qu'il croyait lorsqu'il avait enlevé la mémoire à sa soeur Anaelle pour protéger Sam Winchester. Malheureusement, le cauchemar se produisit alors que sa soeur avait tourné le dos à sa véritable mission flirtant avec les partisans de Lucifer. Castiel avait vraiment regretté son geste en subissant les conséquences de ses actes, perdant une soeur dans ce combat critique contre les forces du mal. Mais aujourd'hui, il allait tenter de la voir à nouveau car elle était revenu vers le bien, appuyant ses frères et soeurs dans ce combat contre l'ange déchu. Il observait attentivement la jolie blonde qui lui faisait penser à Mary Steward tout en marchant vers le café du coin. Elle était une ignorante mais n'était -ce pas un risque pour elle dans l'avenir de cotoyer Castiel et ainsi l'exposer au surnaturel ? Et si elle cachait un terrible secret, au point de vouloir changer sa situation et vendre son âme pour une histoire de pouvoir ou de vengeance ? Peut-être serait-elle choisie par le mal pour accueillir l'hôte d'un terrible démon ? Ou encore une simple morsure d'un loup garou ou d'un vampire la transformerait à jamais pour le restant de ses jours ? Bien des questions mais Castiel se disait qu'il veillerait sur elle, tout comme il l'avait fait sur Mary Steward, se donnant la mission de lui cacher la vérité et l'éloigner du monde surnaturel. Il fallait à tout prix qu'elle vive une vie rangée sans le moindre doute sur cette guerre. 


Ils arrivèrent à la porte du café et Olympe la tenait pour laisser entrer Castiel tout en lui demandant de la rassurer et qu'il n'était pas flic. Non ne vous inquiétez pas je n'aime pas les conflits et me battre s'empressa-t-il de lui avouer tout en souriant et en entrant dans le bâtiment. Puis, feuilletant le menu sur le comptoir, elle demanda à l'ange s'il voulait un cappucino où s'il avait une autre préférence. Voilà un mot qu'il trouvait vraiment bizarre. Il n'avait jamais entendu le nom de ce café et voulant pas paraître trop idiot ou ignorant devant la blonde, il se contenta de répondre un simple Je vais prendre la même chose que vous Olympe. Voulant en savoir un peu plus sur elle, il constatait qu'il y avait un malaise, sans doute qu'elle n'aimait pas parler d'elle. Elle semblait surprise que quelqu'un s'intéresse à elle voulant savoir jusqu'à quel point il était sérieux avant d'avouer ne pas venir de Huntfield et qu'elle avait tout lâché pour reprendre sa vie en quelque sorte. Les cafés arrivèrent alors qu'Olympe demanda à l'angelot s'il était de la région à son tour. 


Non je ne suis pas d'ici et je viens de très loin. J'avoue très sincèrement que je m'ennuie au plus haut point de mon chez moi. Là-bas, tout est magnifique, blanc, de magnifiques paysages. Il n'y a pas de ville ni de pollution tout est parfait, sans le moindre problème, le calme plat.


Castiel venait de se laisser emporter par son coin de paradis, aussi ironique que véritablement réelle pour l'ange. Reprenant ses esprits tout en fixant la jolie blondie il se reprit aussitôt plus simplement. 


J'adore la campagne !


Puis il prit son cappuccino en main avant de relancer la petite humaine sans vraiment insister sur son passé. 


Tout allait si mal que ca pour vous dans votre vie avant Huntfield ?
Mar 11 Aoû - 23:27
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Olympe, détentrice d'un terrible secret ? Pas réellement. Certes, s'abandonner pleinement à son passé, n'a jamais été une mince affaire la concernant, toutefois, que pourrait-elle bien tenter de dissimuler vainement, à l'encontre d'une attitude faussement, détachée ? Seul son tempérament pour le moins, atypique, serait encore aujourd'hui, susceptible de piquer la curiosité des plus inquisiteurs, Rosenbach engendrant, bien malgré elle, la défiance, et pourtant, il n'en est rien. Après tout, qui serait assez fous, pour songer une seconde, à l'existence d'un paranormal à la limite de l'omniprésence ? Pas même, la blonde, il faut bien l'admettre. Elle qui jusqu'alors, eu toujours était, particulièrement septique, à l'idée d'envisager, une existence, différente de celle du genre humain. Castiel s'avérait d'une courtoisie relativement considérable, néanmoins, ne serait-ce tout naturellement pas une raison plausible, pour songer à davantage. Éventuellement, il ne serait tout simplement pas cohérent, que d'imaginer, la présence d'un ange, au comportement faussement humain, se hasardant à échanger banalement, en compagnie du premier venu, dans les rues de Huntfield, qui plus est. De quoi rendre les plus réservés d'entre eux, complètement cinglés, Olympe, assurément, la première. Qu'importe l'être, la jeune australienne, ne pourrait en un sens, approuver, une réalité la dépassant, totalement. Ce dernier, aussi agréable soit-il, deviendrait automatiquement, -à ses yeux-, une créature toute aussi malveillante que les autres. Possiblement, trop terrifiée, pour admettre une évidence, aussi dérangeante soit-elle. La voilà, qui ne pourrait désespérément, que l'accuser de n'être à son tour, pas plus qu'un sombre malade, plus encore, qu'elle ne l'est elle-même. Qu'il en soit un acte de bienveillance à la base, la blonde, ne saurait irrémédiablement pas faire la distinction, calfeutrant ainsi, Castiel, dans une catégorie, qui n'est pas la sienne, incapable de consentir à l’impensable. Au fond, on se foutait bien de l'avis d'une déséquilibrée psychologique, à la paranoïa pour le moins, extrême. Malgré toute la volonté du monde, Rosenbach s'octroyait instantanément une vive opinion négative sur la situation, convaincue que ce dernier, commençait déjà à la juger, comme tous ceux avant lui. Enlisée durant toute son existence au travers d'une appréciation d'elle-même, carrément vulnérable, Olympe, n'est fatalement jamais parvenue à s'en détacher, persuadée, de n'être pas davantage, qu'une intolérable conasse, complètement dérangée. Bipolaire, étant pour une majorité, synonyme de démence. L'australienne acquiesçait, hâtivement ses propos d'un bref sourire, tant ses prunelles plus inquisitrices, qu'elle ne l'était elle-même, dévisagèrent à mainte reprise, durement leur interlocuteur, sans méchanceté aucune, précisons-le. Toutefois, si ce dernier n'appartenait pas à la police, la blonde se questionnait encore intérieurement, quant à sa profession, bien qu'il ne lui fallait pas davantage, qu'une nouvelle remarque, pour lui faire omettre, partiellement, ses interrogations. Castiel, eut au moins le mérite, d'amuser Olympe, bien malgré lui, sa politesse, mêlée étroitement à sa façon d'adhérer à ses propos, ne la laissait guère indifférente, tant son regard, se fit étonnamment plus glacial, en direction de la serveuse. C'est un fait, Rosenbach, paraissait soudainement à peine plus, détachée, s’immisçant vaguement dans les anecdotes improbables, la concernant, beaucoup plus réceptive notamment, lorsque ce dernier s'aventurait à lui exposer un lieu, dont il semblait, affectionner, tout particulièrement. ─ Le calme plat ? Ne serait-ce pas, un peu flippant ? Lançait-elle, presque machinalement, appuyant ses paroles, d'un rapidement haussement d'épaule, son sourire espiègle, ne la quittant définitivement pas. En outre, la jeune australienne, étant le stéréotype de la parfaite citadine, la campagne et autres endroits à la tranquillité excessive, s’avéraient d'après elle, source d'angoisse, pourtant, invraisemblable pour d'autres. ─ Pourquoi êtes-vous ici, alors ? Pauvre ignorante, mais comment pouvait-elle seulement songer, à combien son lieu de prédilection, n'était d'une certaine manière, pas réel, pour elle. Possiblement, sa profession étant une raison valable, quant à sa venue à Huntfield, qui sait ? Mordillant inconsciemment sa lèvre inférieure, Olympe, qui venait à peine de se saisir de sa boisson, vint déjà tapoter nerveusement sur le couvert. Gesticulant à nouveau, sur elle-même, la blonde, reportait vivement la totalité de son attention sur Castiel, qu'elle ne lâchait jamais, vraiment du regard. Soupirant doucement, elle semblait hésitante quant à se lancer, dans une telle conversation, généralement, les gens, préféraient naturellement, prohiber quelconque échange. ─ Tout est relatif. Aussi surprenant soit-il, la jeune australienne, s’amusait idiotement d'un sarcasme déconcertant, de toutes ces années passées en Australie. Privilégiant systématiquement l'ironie à l'exaspération, communicative. Ses mains, resserrant spontanément leur étreinte sur le gobelet, que ses prunelles immobiles jusqu'alors, entamèrent d'interminables allées-retours d'une extrémité à l'autre. ─ Même si les problèmes familiaux ne sont plus une fatalité aujourd'hui, c'est parfois suffisant, pour avoir envie de tout reprendre, à l'autre bout du monde. C'est un peu, ce que j'ai décidé de faire. Vous voyez, rien de véritablement, transcendant. Une dernière phrase, rétorquait vivement, d'un enthousiasme presque trop soudain, pour être vrai. Tant son regard inquisiteur se stoppait une nouvelle fois sur son interlocuteur, que Olympe, tiltait promptement sur un énième détail, le concernant. Enlisée dans sa conversation, elle en omettait absurdement, combien elle se trouvait encore dans le café, répliquant maladroitement, tout ce dont lui traversait, instantanément l'esprit. ─ Êtes-vous marié ? Lançait-elle, sur un ton, faussement hébété, l'air complètement dubitative. Rentre dedans ? Tellement, ouais. Introvertie, elle ? Si peu. Si Rosenbach, s'avérait susceptible d'y conter, une once de sa vie, Castiel, pouvait éventuellement répondre ouvertement, à ce genre de questionnements, parfaitement ordinaires. Emprisonnant à nouveau, sa lèvre inférieure de ses dents, la blonde contournait finalement ce dernier, se rapprochant de la sortie -faisant ainsi, office d'entrée, par la même occasion-, un regard interrogateur en sa direction ─ On y va ? Et la voilà, poussant la porte pour la seconde fois, son attention, assignée dans l'immédiat, sur l'extérieur, prête à bousculer ses plans, si répétitifs, chaque jour. Pas certaine, qu'elle en devienne plus normal à l'avenir, toutefois, ça ne pourrait guère être pire.  
Dim 30 Aoû - 22:55
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Castiel en avait plein les bras depuis quelques temps ne prenant plus le temps de s'arrêter pour profiter de la vie comme le dirait les humains de la Terre. Combattre le mal jour après jour, purifier l'humanité de ces démons, chasser les créatures qui n'avaient aucun droit sur cette planète et par dessus tout, ramener l'ordre au sein des siens. Les Cieux étaient divisés plus que jamais et Castiel savait, de par ses nouveaux dons, qu'il était en quelque sorte cet élu du monde pour ramener les choses à leur place. Ce moment en présence de Olympe avait tout pour permettre à l'angelot de décrocher de ce combat sans fin. Elle ressemblait étrangement à Mary Steward et cela permettait à Castiel de s'apaiser et profiter d'un moment de repos. Organisant cette rencontre par cette collision un peu plus tôt, voilà que les deux êtres se retrouvèrent dans un café du coin tout en poursuivant leur discussion sur la vie. 


Quand elle lui demanda d'où il venait, Castiel s'empressa de lui dire qu'il venait de loin, un endroit des plus calmes au monde. Elle répliqua sans hésiter que cet endroit devait sans doute être très flippant. Pas quand vos journées semblent être un combat jour après jour Olympe. Après tout c'était la vérité car il ne s'arrêtait pas un instant depuis qu'il avait mis les pieds sur Terre pour protéger les Winchesters. Elle enchaîna en se demandant dans ce cas pourquoi il se trouvait ici, à Huntfield. L'ange avait décidé de rester vague tant qu'à ses réponses pour ne pas éveiller quelque soupçon que se soit. Tout simplement qu'on avait besoin de moi ici. Castiel se tourna pour observer les gens autour d'eux avant de rajouter. Vous n'avez jamais eu l'impression parfois d'être obligé de vous retrouver quelque part pour mieux avancer ? Pourquoi pas répondre par une interrogation et ainsi apporter le sujet ailleurs ?


Puis la jeune femme parlait de son nouveau départ dans une nouvelle ville. Problème familiaux et rien de vraiment drastique selon elle. Café en main la jeune femme demanda à l'angelot quasiment dans un élan tout naturel s'il était marié. Elle demandait donc à un ange s'il avait une vie familiale en quelque sorte avec des enfants ce qui décrocha un sourire en coin à Castiel sur le bord du comptoir. Elle contourna l'ange pour se diriger vers la porte de sortie et il la suivi aussitôt. Non, je ne suis pas marié et je vis seul. Ma vie ne me permettra probablement jamais de m'attacher à quelqu'un. Voilà qu'ils sortirent à l'extérieur pour commencer à marcher. Puis l'ange retourna la question envers Olympe. 


Vous avez un petit ami ? L'ange tendit le bout de son verre vers sa bouche pour laisser paraître qu'il prenait une gorgée de son café sans toutefois en goûter le nectar. D'Ailleurs vous voulez que je vous raccompagne chez vous? Vous alliez quelque part ? Après tout pourquoi ne pas être gentil et gagner son entière confiance en cette journée. Castiel ne voulait pas que cette rencontre se termine et soit la seule à y avoir. 
Jeu 3 Sep - 22:57
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Si seulement, l'espèce humaine s'octroyait tant de mal, pour préserver les siens, désespérément plus absorbée par une auto-destruction particulièrement déroutante. Le monde est faible, les hommes le sont. Olympe, qui jusqu'alors, n'eut jamais véritablement espérance quant l’humanité, prétendait encore, qu'il saurait particulièrement difficile de faire pire à l'avenir. Les êtres démoniaques, pouvaient-il réellement démontrer, de davantage de tyrannie, que l'humain, adroit de fausser et ruiner son prochain, pour une pathétique histoire de hiérarchie, une soif de pouvoir et de reconnaissance franchement exacerbée ? La société régresse, et Rosenbach, à son tour, ne serait pas intimement convaincue de procéder dans le sens inverse, si elle en avait, hypothétiquement, la possibilité. Possiblement, était-ce encore préférable pour la blonde de subsister inlassablement dans le dénie de l'irréel, sous prétexte de ne pas être un cadeau, pour les grands défenseurs de ce monde. Finirait-elle ainsi, par vriller dans une catégorie, ne visant pas à préserver sa propre espèce. L'homme est dévastateur, il se fout littéralement de tout anéantir sur son passage, tant il peut assouvir le plus infime, de ses intérêts. À quoi bon, se démener incessamment à l'encontre d'un égocentrisme extrême, dont elle-même ne prendrait certainement jamais, la défense. Au fond, Olympe s'avérait la preuve évidente, que les anges n'étaient à l'instant, plus les seuls à se diviser. Castiel, serait-il, quant à lui, tout aussi compréhensif, face à son manque cruel de compassion ? Après tout, quel genre d’individus assez fous, faut-il être, pour acquiescer les immondices, emmenées tout droit, de l'être humain. Ce dernier ne pouvant au préalable, ne se faire qu'une vague idée de sa personne, prendrait, relativement conscience à l'avenir, de l'attitude anormale de Rosenbach. Avoir l'air, ne signifiait pas qu'elle l'était réellement, cohérente. De faux semblants, c'est ce dont elle usait à présent. Persistant difficilement à ne représenter dans l'immédiat, pas plus qu'une fille, parfaitement normale. Qui s'aventurait à échanger gaiement en compagnie d'une gamine à la bipolarité avancée, refusant définitivement de traiter ses propres troubles, au risque immodéré de foutre la totalité de sa vie, en l'air. Instable psychique, la blonde en est aussi, particulièrement destructrice. Sa satisfaction, ne trouvant son apogée qu'auprès des difficultés, dont elle est elle-même à l'origine. Détériorer ce qu'un individu logique, se hasarde à façonner au cours de son existence. On pourrait évidemment, envisager la malveillance, incapable de s'accorder au bonheur des autres, cependant, Olympe, n'en reste pas moins, sa principale victime. Tous ces questionnements existentiels laissés effroyablement sans réponses, hypothétiquement, parce que personne à part elle, ne raisonne de façon aussi excessive. Alors, ouais, Olympe, persistait subtilement à lutter présentement, contre elle-même et ses maux intérieurs, pour ne pas engendrer la défiance. Si Castiel veillait absolument, à ne pas se révéler quant à ce qu'il représentait, la jeune australienne en fit tout autant, mais pour des raisons bien différentes. À peine, s'enlisait-elle à nouveau dans ses divagations, que les propos de ce dernier, vinrent instinctivement l'extirper de sa songerie soudaine. Balayant vaguement la boutique du regard, elle l'invitait tout aussi spontanément à quitter les lieux. En effet, si ses absences répétées en horripilaient plus d'un, la blonde, les subissait, continuellement. L'air de l'extérieur lui permettrait d'autant plus, de récupérer progressivement ses esprits, méditant plus sérieusement, sur l'interrogation de son interlocuteur, quelques secondes, auparavant. En outre, un sujet, qui étonnamment la concernait distinctement, elle qui eut brusquement déserté son pays natal, pour un autre, vainement. ─ Une fois. Lançait-elle, précipitamment, avant de finalement reprendre, aussitôt, sur un ton, pleinement anodin. ─ Je n'ai pas mieux avancée, pour autant. Oups, la blonde, faisant irrévocablement allusion à sa propre expérience. Son autonomie n'étant plus à démontrer, ses angoisses, n'ont quant à elles, jamais d’étalées, allant jusqu'à daigner des décisions, totalement contradictoires à sa volonté. Posant son regard sur Castiel, une fraction de seconde, Olympe le détournait tout aussi hâtivement, en direction du sol, tiltant à nouveau sur un détail se rapportant aux propos émis par ce dernier, une minute, avant, fusionnés à bien d'autres. ─ Si je résume, votre vie est un combat quotidien, dans lequel, certains individus ont besoin de vous ? Fronçant légèrement, les sourcils, ses prunelles interrogatrices s'immobilisèrent finalement, sur leur interlocuteur, qu'elles dévisagèrent durement, se questionnant intérieurement sur les professions, visant à tant de solidarité. Acquiesçant d'un rapide mouvement de tête, Olympe détournait son attention, portant naturellement le gobelet à ses lèvres. Assidue à chacune de ses remarques, la blonde, appréhendait très vite, combien, il devait probablement renoncer à ses convoitises, au profit des autres. ─ Alors, changez de vie. Lançait-elle, du tac-au-tac, autrement dit, le plus naturellement au monde. Conclusion, suivie d'un infime haussement d'épaules. Pauvre idiote s'il le pouvait, seulement. ─ Ce que je veux dire, c'est que vous ne devriez pas sacrifier votre vie, pour celle des autres. Après tout, je suis certaine qu'aucun d'eux, ne le ferait pour vous, en retour. Affirmait considérablement Olympe, à l'aide d'un geste de tête, ciblant volontairement les passants. Ce dernier, appartenait assurément à cette catégorie de personnalités trop attentionnées, au grès de ceux qui ne méritaient pas, le plus infime coup d’œil. Accusant, de sa part, un manque extrême d’empathie pour une population, la laissant toujours plus de marbre. Aucun de ses habitants n'étant digne du temps, et de la volonté d'un autre. ─ Ne craignez-vous pas de regretter à l'avenir, toutes ces choses, dont vous semblez, vous priver, aujourd'hui ? Cinglée, n'étant pas forcément signification de stupide, Olympe eut toujours été spécialement, perspicace et droite de sincérité, aussi déplaisante soit-elle. Mordillant doucement sa lèvre inférieure, son regard étrangement conciliant, lorgnait instinctivement Castiel de haut en bas, tant ses mains vinrent nerveusement faire tournoyer son café sur lui-même. Question gênante pour cette petite blonde, qui jusqu'alors, n'a jamais été adroite de sentiment bienveillant, pour ce qui n'est autre, qu'évidence pour des milliers d'individus. Tentant de remettre en place une mèche de cheveux, jugée rebelle, c'est vaguement et de façon circonscrite qu'elle se délectait du sujet. ─ Non. Je ne suis pas, franchement sentimentale, il faut croire. Préférait-elle, indéniablement s'en amuser, tant il s'avérait en être une réalité, vivement déconcertante. Une sale égoïste. Voilà, qui était préférable, de ne pas s'exprimer véritablement sur les causes, l'amenant à finir, délibérément seule. Olympe, achevant enfin sa phrase, que ce dernier, vint lui arracher un énième sourire, sans omettre, combien, il éveillait progressivement, sa curiosité. Son tempérament aimable, l'étant presque trop, pour un humain classique. Observant son café un instant, ses prunelles inquisitrices vrillèrent sur les piétons à éviter, de préférence. ─ Quoi, vous craignez déjà, que je me fasse agresser ? Vins hâtivement ajouter la blonde, d'un ton léger, structuré notamment, sur la plaisanterie. Réplique accompagnée, d'un modeste rire, qu'elle s'empressait d'étouffer d'une main sur sa bouche. Entrainant machinalement Castiel dans son élan, Olympe, l'incitait à traverser la rue piétonne, dont elle ne prit comme à ses habitudes, pas la peine de constater l'absence de véhicule. Un agissement irresponsable, davantage, qu'elle n'aurait pas été unique victime, à l'instant précis. ─ J'habite pas très loin d'ici. Si vous êtes prêt à marcher, encore un peu. Après tout, il n'inspirait pas la méfiance, peut-être était-ce un peu énigmatique, mais qui ne l'était pas ? Le gobelet à ses lèvres, et son regard entamait d'interminable allées-retours du chemin à son interlocuteur. Il y avait quelque chose chez lui, de contradictoire aux autres, Rosenbach, ne parvenant pas dans l'immédiat, à déceler ouvertement cet aspect, sur lequel, elle semblait bloquer, intérieurement. Surement était-ce aussi à l'origine, d'un lâcher prise évident, en provenance de la blonde, qui depuis longtemps, ne faisait enfin preuve, d'aucune acerbité.
Sam 12 Sep - 4:18
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L'ange se sentait bien en ces moments de pure détente et de relaxation en compagnie de la jolie blonde dans la ville de Huntfield. Même si le mal se refusait d'éclore au grand jour, laissant la plupart des humains dans l'ignorance, Castiel ne pouvait nier le fait que tout pouvait se produire et à n'importe quel instant de la journée. Si une telle chose pouvait être possible, l'ange allait tout faire pour ne pas qu'Olympe plonge dans ce monde infernal, pour qu'elle puisse jouir éternellement de son ignorance et qu,elle puisse vivre normalement. Discutant de tout et de rien, la jeune femme avoua ne pas avoir avancé pour autant devant le passé qu'elle semblait fuir. 


Posant son regard dans celui de son interlocuteur qui, machinalement mais sans prendre une gorgée de son café, rapprocha son verre de ses lèvres, elle déduisit que la tâche de Castiel était un combat quotidien dans lequel des gens lui demandes son aide. Lui faisant un sourire, il tenta de lui en dire un peu plus sur son supposé travail qui n'en était pas un humainement parlant. Disons que sauver les gens de la mort, leur donner une seconde chance dans ce monde cruel et les aider à combattre leur démon est une tâche, une mission que je me suis accordée. Combattre les démons ? venait-il de s'égarer ? Subtilement parlant probablement mais elle ne pouvait penser à cette déclaration comme un fait véridique mais simplement comme une expression. Elle fit sourire l'ange lorsqu'elle déclara qu'il devait changer de vie. Et si seulement il pouvait !


Olympe fit réfléchir grandement Castiel lorsqu'elle déclara qu'aucun de ces personnes qu'il aiderait donnerait sa vie pour lui à l'inverse. Elle avait sans doute raison puis elle parla des regrets qu'il pourrait avoir dans l'avenir devant ses actes actuels se privant de certaines choses de la vie. Castiel avait changé, ayant reçu un don particulier de Dieu et avait changé son fusil d'épaule, agissant au lieu de parler pour combattre les forces du mal qui prenaient un peu trop d'avance dans la lutte. 


Je t'aurais dis oui il n'y avait pas si longtemps Olympe mais dans la dernière année, j'ai réalisé que je valais mieux. J'agis beaucoup plus aujourd'hui en fonction de ce que je crois, mes valeurs et mes principes. Ainsi donc je tente de me reprendre sur ce dont je n'avais pas fait par le passé. 


L'ange était maintenant redouté de plusieurs y compris ses semblables qui avaient peur que Castiel se perde dans cette acquisition de pouvoir inconnu. L'angelot savait maintenant qu'il pouvait changer les choses et sauver les hommes de la fin des temps. Mais pour le moment sa préoccupation était la jolie blondie qui avoua n'avoir aucune relation sentimentale. Castiel faisait attention à elle, un peu trop même au point qu'elle pensait qu'il craignait une agression à son endroit accompagné d'un sourire moqueur. Elle n'habitait pas très loin et Castiel était ravi de la raccompagner. 


 Je suis très heureux d'être en bonne compagnie et oublier le travail un peu. On a besoin parfois de se ressourcer et de passer à autre chose pas vrai ? Castiel affichait un sourire et il y avait beaucoup de passant sur le trottoir plus ils avançaient. Des regrets Olympes ?  Vous avez beaucoup de connaissances maintenant que vous êtes installées dans la ville ?
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