III. 04 ❝ fire meet gasoline ─ Graham.
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III. 04 ❝ fire meet gasoline ─ Graham.

Jeu 30 Juil - 3:09
Invité
Anonymous
Invité

Peux-tu l'apercevoir cette petite blonde, accoudée au comptoir, comme si l’entièreté de sa vie, en dépendait. Observant chaque fêtard d'une attitude, parfaitement décomposée, ses prunelles accusatrices, à la limite de l’insolence. Si au commencement elle n'avait pas débarqué seule, c'est ainsi qu'elle terminerait certainement sa soirée, possiblement même, encore accotée à cet insignifiant morceau de bois, faisant habituellement office de bar. Si son comportement laissait vivement prétendre à l'inverse, Olympe n'en fut pas plus qu'à son tout premier verre de Vodka, autrement, aucun risque d'apparition, d'une gueule de bois, dès le lever du jour. C'est un fait, à l'accoutumée, Olympe en serait probablement à sa quatrième tournée, cependant, la voilà qui aurait irrémédiablement préféré crever la bouche ouverte, que de devoir assumer davantage cette soirée, dont la distraction s'avérait au plus bas. Difficile de faire pire, songeait-elle. Un rapide coup d’œil d'une extrémité à l'autre de la salle, comble, et Rosenbach, semblait suffoquer toujours plus, à chaque seconde consumée à l'intérieur. Les sourires vaporeux de ce début de soirée, s’effacèrent progressivement, commutant de son agressivité traditionnelle. Tous, sans exception, parvenaient bêtement à s'égayer, d'une manière qui lui échappait, vaguement. Ce brouhaha d'arrière plan, associé salement, à ce carnage musicale, beaucoup trop fort, diminuait excessivement sa patience, à la base, inexistante. Sans omettre ces individus, lui étant pleinement inconnus, n'ayant de cesse de l’effleurer, situation insoutenable pour Olympe, dont le toucher substitue rédhibitoire. Et sinon, me direz-vous, que pouvait-elle bien foutre dans une boite de nuit, au environ de deux, peut-être même, trois heures du matin, si ce n'est, seulement pour se lamenter sur la médiocrité des lieux. Que vous me croyez ou non, qu’importe à quel point vous soyez cinglé(e), tout le monde ou presque possède une vie sociale, bien que l'entretenir, peut fatalement représenter pas plus qu'une intolérable, corvée. Le rapprochement est-il fait, à présent ? Certainement, n'était-ce pas conseillé, par les temps qui courent de jouer les rebelles, cependant, et bien malgré elle, éprouver ce bourdonnement interne, carrément incessant, lui serait irrémédiablement insurmontable. Une minute, guère, beaucoup plus, c'est précisément, le temps qu'il lui avait fallu pour se précipiter hors du club, donnant vastement sur une rue principale, un brin mal éclairée, au premier abord. Ses prunelles, largement assombries par la pénombre, détectèrent des difficultés à s'adapter à la faible luminosité extérieure, cette fois. À peine, venait-elle de dresser un pied sur le perron, que la blonde déposait instantanément, l'une de ses mains au niveau de sa gorge, comme si elle tentait encore de rassurer, quant à l'air nouveau, qu'elle humait, presque difficilement. Ce n'est qu'au bout d'une trentaine de secondes, que la jeune australienne vint se laisser tomber sur un trottoir, profitant de cet instant pour saisir le paquet de cigarettes situé dans l'une des proches, de sa veste. Olympe n'en était définitivement pas une fumeuse quotidienne, privilégiant fortement, l'alcool au tabac, néanmoins, lors de soirée, il lui arrivait de tirer brièvement sur la corde. Bien qu'à l'heure actuelle, ce ne fut ni l'un, ni l'autre. De but en blanc, ce fut la broutille de trop. Levant désespérément les yeux au ciel, Rosenbach ne pouvait prohiber de grogner quelques jurons, tant son briquet, refusait obstinément de fonctionner à son tour. Abaissant une nouvelle fois, ses prunelles, jusqu'alors, avides d'agacement, les voilà qui s'immobilisèrent sur une silouhette masculine, positionnée non loin d'Olympe, qui suite à une courte hésitation, vint finalement l'aborder hâtivement, se hasardant possiblement à paraitre plus agréable qu'elle ne l'avait été, tout au long de la soirée. ─ Pardonne-moi, mais t'en aurais pas un qui fonctionne ? Lançait-elle, interrogatrice, avant de présenter l'objet en question. Ce putain de briquet lui ayant fait faux bon, durant l'unique moment où elle en eut sincèrement, nécessité. ─ Le mien vient tout juste, de rendre l'âme. Rétorquait-elle une dernière fois, appuyant ses précédents propos, de son traditionnel, air hébété, que blondie s'octroyait, lors de situation, pas différente de celle-ci. Au premier abord, Olympe, était presque certaine de faire éventuellement face à un type, d'une trentaine d'années, pas plus. Un infime sourire en coin, et la voilà, tentant vivement de se comporter à l'exemple d'une individue parfaitement, normale. Mais, quelle ne fut pas cette difficulté, que de devoir préserver le fond de sa pensée, et toute son agressivité, sur un vulgaire briquet, ne lui ayant pas permis de consumer sa cigarette, en temps voulu.
Jeu 30 Juil - 22:17
Invité
Anonymous
Invité

Graham Peterson ne faisait pas grand chose dans les derniers jours pour la simple et bonne raison qu’il n’y avait rien à faire. On ne pouvait pas faire grand chose lorsqu’il n’y avait rien à faire. Cela n’avait pas de sens. Néanmoins, il en profitait pour relaxer un peut. Il devait prendre le temps de prendre un grand respire et plusieurs verre d’eau. Il avait chassé, tué et torturé des personnes pour retrouver sa mère adoptive. Pourquoi retrouver sa mère adoptive? Et bien pour plusieurs raisons. La première éait bel et bien l’amour qu’il ressentait pour elle. Un amour pure. Néanmoins, ces derniers temps, le démon ne savait plus trop si l’amour qu’il ressentait était vrai ou faux. C’était pourquoi il devait la retrouver absolument, mais cela allait prendre du temps. Beaucoup de temps selon lui.

L’autre raison était simplement qu’il voulait son âme. Il était fatigué de tuer des personnes innocente. Même s’il se disait qu’elle ne l’était pas au fond de lui, il savait que tout le monde avait ses secrets. Secrets qu’il regrettait amèrement. Même Graham méritait la mort infernal. Ce n’était pas parce qu’il se disait innocent qu’il l’était. Dans la vie, personne n’était innocent, mais cela ne voulait pas dire qu’il devait absolument tuer. MAlheureusement, pour le moment, le chasseur devait continuer ce qu’il ne voulait pas faire pour la simple et bonne raison que pour survivre et ne pas malheureusement tomber dans un trou direct pour l’enfer. Graham ne voulait pas aller en enfer. Il devait tout faire pour que cela n’arrive pas. Sa vie en dépendait.

Alors qu’il buvait un verre d’eau chez lui, il décidait finalement de sortir un peu voir un peut le monde qu’il y avait dans les alentours. Ce chasseur n’était pas le plus sociable, mais il savait comment parler. Il avait commendé un whisky, Une boisson qu’il aimait particulièrement. Mais cela ne l’empêchait certainement pas d’être conscient et en alerte. Il était dans un club oui, que faisait-il là? Ce n’était pas sa scène. Il préférait les petits bar calme, un groupe de musique qu’il jouait simplement, une télévision qui permettait de regarder le hockey, le baseball ainsi que le football. C’était ainsi qu le chasseur déposait simplement son verre et sortait du club. Il avait besoin de prendre l’air. Il ne savait pas quelle heure il était, mais cela n’avait pas d’importance en ce moment. Graham n’était pas dans un état pour passer la nuit dans un club. Il avait ses preoccupations personelles et personne ne pouvait vraiment l’aider.

Il voyait une jeune femme qui venait le voir. Elle avait donc besoin d’un briquet. Graham ne fumait pas, mais il avait toujours un briquet sur lui et cela depuis que son meilleur ami avait rendu l’âme il y avait de cela quelques années. Graham la regardait un petit moment. Elle devait être dans la vingtaine. De par son accent, le chasseur devinait qu’elle était australienne. Ah ou, l’australie, un de ses pays préféré. Graham sortait son briquet de sa poche et le lui tendait…

- Tener, le miens fonctionne à merveille. -
Ven 31 Juil - 1:41
Invité
Anonymous
Invité

Olympe, elle est ainsi, accepte, et regrette, tout aussi instantanément. Elle espère, et décroche littéralement. Elle ne refuse pas réellement, bien que le mieux serait encore, qu'elle n'en daigne pas moins. Sa désastreuse soirée, en fut le parfait exemple. Positionnée bêtement contre la parois en bois, la blonde n'eut inlassablement cessé de dévisager chaque individu, sans exception. Rien de véritablement distrayant en soi. Son entourage, définitivement, effacé de son champ de vision, Olympe, se devait irrémédiablement de constater, combien sa présence s'avérait, franchement dispensable. Après tout, son rôle n'étant pas de limiter les déboires de chacun, la jeune australienne s'accordait sans une sincère contrariété, cette pause, jusqu'alors, bien méritée. Ce brouhaha d'arrière plan, plus insupportable encore, que n'importe lequel de ces individus, complètement alcoolisés. Finalement, il fallait bien l'admettre, à son tour, la blonde privilégiait amplement les lieux davantage, pondérés, possiblement, le bar au coin de sa rue, bien qu'elle y accostait en s'y rendant, un nombre improbable de types, un peu louches. Agacée toujours plus par ce briquet à l'esprit, soudainement rebelle, Olympe, n'eut pas hésité longtemps, avant d'aborder, cet homme, jamais croisé auparavant, dans l'espoir qu'il saurait au mieux la dépanner. De plus, ce fut possiblement celui qui lui inspirait le plus confiance, Quelques-uns ne s'avérant pas aussi tranquille, qu'il semblait l'être, et Rosenbach n'avait actuellement, pas nécessité que d'échanger avec un éméché de première catégorie. Venait-elle de saisir, l'objet qui lui était destiné, et la voilà qui acquiesçait enfin, d'un bref sourire, profitant du même instant pour allumer sa cigarette qu'elle tentait vainement de protéger d'une brise infime. Restituant le briquet à son propriétaire aussitôt utilisé, que la jeune australienne, s'avérait presque délivrée de sa dérisoire contrariété. ─ Merci beaucoup. Je craignais fortement d'avoir à leur demander leur aide. Venait-elle de répliquer, un brin amusée, tout en désignant d'un geste de tête, un groupe de garçons, dont la faible intelligence, mêlée à l'alcool, ne devait guère, faire bon ménage. Certes, Olympe, n'en savait pas davantage en ce qui le concernait, toutefois, seule l'apparence globale, suffisait dans l'instant, à faire toute la différence. Tâchant de ne pas l'accabler de sa fumée, la blonde tirait une nouvelle fois sur sa cigarette. Ses prunelles n'ayant jusqu'ici cessé d’émettre d'interminables allés-retours, s'attardèrent un long moment, sur ce dernier, quelle dévisageait durement, presque malgré elle. ─ Je ne savais pas que les gens à la sortie d'un club, utilisaient encore le vouvoiement. S'amusait vivement, la demoiselle, intérieurement surprise qu'il puisse en être, réellement le cas. Qu'importe l'âge, en ce genre de circonstance, il était définitivement plus plaisant, dans un sens, que de ne pas instaurer trop de distances d'un individu à l'autre. Au fond, et du haut de sa vingtaine d'années passées, Olympe, ne s'avérait guère emballée à l'idée que l'on s'adresse à elle, à l'exemple de quelqu'un de probablement, plus âgé. Question de préférence, me direz-vous. Cependant, si cette dernière, eut jusqu'alors tenté d'estomper son mécontentement, dont l'origine, une sortie pour le moins, désastreuse, un détail piquait sciemment sa curiosité. L'attitude presque similaire de cet homme, à la sienne, de brèves secondes auparavant. Faut croire qu'à son tour, cet intense vacarme lui était particulièrement insoutenable. Voilà, qui ne pouvait être que plus compréhensible. L'alcool, n'étant à son tour, pas parvenue au bout de sa détresse accablante, tout au long de la soirée. ─ Est-ce que ça va ? Lançait-elle, d'un ton anodin, de son attitude, parfaitement détachée. Oh non, l'empathie, ça n'a assurément jamais été une qualité première, la concernant, néanmoins, il en subsistait la moindre des politesses. Après tout, il n'avait, dans ses souvenirs, pas hésité à lui tendre son briquet, lui poser cette question, était possiblement un minimum, dans l'immédiat. C'était un fait, un parfait inconnu ne se dévoilerait carrément pas à n'importe qui, ce qui est irrémédiablement logique, malgré tout, c'est le geste qui compte. Et puis, on ne pourrait définitivement pas lui reprocher, de ne pas se hasarder à une approche plus normale, qu'à l'accoutumée, son sourire finement compatissant, pour en témoigner.             
Dim 9 Aoû - 12:07
Invité
Anonymous
Invité

Chasseur à ses heures, Graham Peterson est un fils adoptif d’une démone prénomé Mistick. Pendant des années, il chassaient pour satisfaire la faim du pouvoir de sa mère. Néanmoins, la réalisation de Graham était bien simple. Il ne pouvait pas vraiment continuer à tuer des innocents pour celle-ci. Car il ne la voyait jamais. D’autre part. Il ne ferait plus le petit chien errant qu’il était. Le chasseur était aussi un ex agent de la CIA. Oui, un ex agent, vous avez bien lu et compris. Car aujourd’hui, il travaille pour le commissariat, néanamoins, il ne le criait pas sur les toits. Comme plusieurs l’auraient fait à sa place.

Le chasseur venait donc de prêter son briquet à une jeune femme qui venait de lui addresser la parole. Elle était blonde. Surement dans la vingtaine. Cette jeune femme fumait, ce qui ne dérangeait pas le chasseur, car lui aussi était passé par là et peut de gens le savait. Il continuait à fumer la cigarette occasionel. Mais bon, seulement dans les journées de stresses. Il vaut l’avouer que lorsque votre métier était de chasser les creatures surnaturel, il fallait simplement se l’avouer que le stresse était toujours presents à tout moment de la journées.

Ce qu’il avait remarqué chez la jeune femme c’était qu’elle était Australienne. Elle venait de l’australie. Un pays magnifique. Un pays que Graham aimait bien visité, surtout pour les sécances de surf ainsi que se promener parmis les nombreux kangooroo.

Elle alumait sa cigarette, lui redonnant son briquet. Graham aurait normalement serrer son briquette dans ses poches, mais décidait de sortir son paquet de cigarette et s’en allumait une. Elle le remerciait simplement pour le briquet tout en declarant ne pas avoir voulu demander à un groupe de garçon. S’adresser à un étranger était dangereux surtout, avec la beauté de la jeune femme, car beaucoup de jeune avait autre chose en tête que de passer leur briquet, surtout lorsqu’ils étaient en groupe, cependant pour Graham, cela n’était pas une option. Surtout pas. Il allait discuter avec elle et peut être l’accompagner chez elle, mais rien de plus.

L’homme fumait sa cigarette lentement. En compagnie de la jeune femme. Il ne prenait pas cette habitude souvent, mais bon… Pour se changer les idées, il fallait faire quelque chose de grandiose non? L’homme se faisait dire qu’il utilisait le vouvoiement ce que bien entendu Graham utilisait souvent. Un signe de respect qu’il avait appris au cours des longues années de service pour un gouvernement qui se foutait bien de ses soldats. Néanmoins, il ne regrettait jamais son service pour son pays. Il n’allait certainement pas le spécifier à cette jeune femme. Elle n’allait surement pas croire un mot qu’il lui dirait.

- Un signe de respect que j’utilises depuis plusieurs années. -

Graham aimait le respect. C’était ainsi que les bonnes relations perduraient sur plusieurs années. Trop d’année. Le chasseur se demandait ce qui allait ce passé. Non, il ne se le demandait pas, mais plutôt laissait aller le moment. Il n’allait certainement rien faire pour briser le moment qu’il passait en compagnie de cette jeune femme. Une bonne question est ce que ça allait? Non, rien n’allait dans la vie du chasseur. Il avait une mère démone, une mère qu’il voulait à tout pris retrouver, afin de la tuer et de reprendre son âme si précieuse. Il y avait si longtemps qu’il n’avait pas ressentis des émotions. En fait, il en ressentait juste une, une qui était constante.

- Pour vous dire la vérité, non, je ne vais pas bien. Quelque chose qui à un rapport avec mes émotions. -
Mer 12 Aoû - 23:04
Invité
Anonymous
Invité

Ses émotions, n'était-ce pas intéressant ? Olympe, étant certainement la mieux placée -humainement parlant-, pour en assimiler toute la difficulté. Elle qui depuis toujours, souffrait inlassablement de troubles psychiques, aux conséquences, pour le moins, exacerbées. La blonde, ne prétendait pas, dans l'immédiat, de pouvoir appréhender ses contrariétés, toutefois, elle pourrait éventuellement, tenter de les concevoir, au possible. Certes, Rosenbach, n'en omettait guère, qu'il s'agissait d'un parfait inconnu, mais malgré toute la défiance du monde, ce dernier ne lui semblait pas franchement agressif, bien qu'il n'en soit encore, que d'un vague jugement, basé hâtivement sur l'aspect général. Dans un sens, il serait particulièrement difficile que de concrétiser une opinion, sur quelques mots, vivement échangés. La voilà, qui en négligeait presque ses précédentes paroles, en réponse à son interrogation concernant l'utilisation du vouvoiement, l'ayant au préalable, étrangement interloquée. Après tout, chacun est libre d'agir comme il l'entend, me direz-vous. Tirant à mainte reprise sur sa cigarette, la blonde s'agitait nerveusement d'un bref d'un mouvement de surplace, la brise légère ayant fait son apparition quelques secondes, auparavant, lui paraissant, soudainement glaciale, qu'importe s'il faisait une trentaine degrés. Ses prunelles examinant lourdement les lieux, s'immobilisèrent un instant, sur son interlocuteur, ayant quant à lui, honnêtement répliqué, ne pas être, particulièrement enthousiaste. De quoi en déconcerter plus d'un, tant Olympe, paraissait étonnamment impassible. Lorgnant fortement, ce dernier de haut en bas, la jeune femme, se fit vulgairement silencieuse, possiblement, septique à l'idée de rétorquer à son tour, quelque chose de véritablement nécessaire. Faut dire que mademoiselle, n'a en son genre, jamais été, excessivement réceptive, aux problématiques de ceux qui l'entourent, franchement détachée aux confidences, cependant, pouvait-elle, vraiment le rester, aujourd'hui ? Après tout, elle n'était pas étrangère aux émotions intempestives, raison pour laquelle, Olympe, subsistait finement compatissante, à l'encontre d'une attitude désespérément indifférente. Fatalement, Rosenbach se questionnait quant à ses paroles, intérieurement embarrassée de ne savoir quoi répliquer à nouveau, au grès d'un juste milieu. Se délecter d'une curiosité mal venue, tant il s'agissait présentement d'un parfait inconnu, bien qu'elle ne puisse pas totalement, se la jouer je-m'en-foutiste, dans l'espoir qu'il lui conte ses déboires, s'il le souhaitait, réellement. ─ Vous, enfin tu, voudrais peut-être en parler ? Avec un peu de chance, j'aurai certainement, tout oublié, dès demain matin, si ça peut, éventuellement, te rassurer. Lançait-elle, tout naturellement, sans aucune arrière pensée. En terme de politesse, que pouvait-elle, sincèrement lui suggérer de mieux ? La blonde, ignorait d'autant plus son nom, que leur échange, s'était engendré, presque aussi machinalement. Mimant un vif mouvement de tête, d'un côté à l'autre, Olympe, épiait longuement le vide, avant même de détourner systématiquement le regard en direction de ce dernier, qu'elle dévisageait intensément, une nouvelle fois. À peine, avait-elle entamé sa cigarette, que la jeune australienne, vint la laisser chuter sur le sol, qu'elle opprimait, définitivement de son pied. ─ Je me trompe, ou tu imaginais sûrement, qu'en venant ici, tu trouverais de quoi t'occuper l'esprit, vainement ? Pourquoi une telle interrogation ? Potentiellement, parce que Olympe, appartenait à cette catégorie de personnes, agissant naïvement de la sorte. Tuer bêtement l'ennui, omettre partiellement une contrariété, la majorité des individus, tout comme elle, s'imaginant qu'en s'alcoolisant idiotement, la situation serait à l'arrivée, pas aussi désastreuse, qu'à son départ. Preuve à l'appui, cette discussion, aussi superficielle, soit-elle. Aucun d'eux, n'ayant, apparemment dérobé quelconque distraction dans ce brouhaha d'arrière plan. Se mordillant légèrement la lèvre inférieure, la jeune australienne, levait durant un court instant, les yeux au ciel, avant même d'appuyer tout aussi instantanément, ses précédents propos d'un sourire espiègle -comme à l'accoutumée-. Si cela passait dans un premier temps, pleinement inaperçu, mademoiselle, démontrait subtilement un comportement, déjà irrégulier. Cette manière étrangement insoupçonnable d'évaluer instinctivement chaque individu rencontré. Ses prunelles inquisitrices, témoignant plus d’intérêt pour son interlocuteur, que ses propres interrogations. Bras croisés, regard durement planté, elle jaugeait, quasi malgré elle, bien loin de songer à combien les histoires de ce dernier, ne furent en rien comparables à ses broutilles de tous les jours.    
Sam 15 Aoû - 17:30
Invité
Anonymous
Invité

Ses émotions. Oui en effet des émotions que Graham ne ressentait plus trop depuis un long moment. Il avait tué beaucoup de personne dans sa vie qu’il ne savait plus ce qu’était l’amour, les remords. Tout ce qu’il ressentait était de la douleur pure et simple. Il ne pouvait pas vraiment ressentir quelque chose qu’il ne ressentait pas. Non en effet, un gros mensonge qu’il venait de dire en ce moment. Il ressentait des émotions, mais il ne savait plus comment les interpréter. Mais bon, cela ne changeait pas grand-chose à la situation actuelle. Une situation où il fumait une cigarette en compagnie d’une certaine jeune femme qui était blonde et quand même assez magnifique. Elle avait son charme et Graham n’en restait pas indifférent, néanmoins, il ne voulait pas abuser d’elle non plus. Il n’était pas prêt à faire ce que les gens font normalement.

Graham fumait tranquillement. Il n’avait pas besoin de grand chose dans la vie pour être bien. Il ne bougeait pas non plus. Il observait les jeunes qui sortaient du club. Des jeunes qui avaient bu de l’alcool. Assez d’alcool pour ne plus avoir l’habileté de prendre de bonnes décisions. Notre chasseur avait déjà été l’un de ces jeunes et il avait malheureusement perdu sa petite amie de l’époque. Non pas parce qu’il avait bu, mais parce que l’un ses nombreux amis avaient décidé de conduire cette nuit là… Mais Graham avait déjà oublié cet incident qui c’était produit il y avait de cela plus de dix ans. Il ne pouvait rien changer. Retourner dans le passé était chose impossible.

En parler? Non pas vraiment, mais bon, l’homme se demandait vraiment comment aborder le sujet de ses émotions. Cependant, ils n’étaient pas dans un bon endroit, néanmoins si quelque chose arrivait, le chasseur pouvait aider la jeune femme assez facilement. Graham jeta sa cigarette sur le sol et avec son pied l’écrasait. Graham levait un sourcil alors qu’elle disait qu’elle aurait surement oublié leur conversation? Le chasseur se demandait vraiment si elle disait la vérité. Il n’était pas du genre à se confier à une inconnue. Voyez l’ironie dans cela. Il s’était confié à Astarielle qui était un ange et pratiquement une inconnue. Néanmoins, cela ne changeait rien.

-Je pourrais vous en parler, mais je ne crois pas que vous aimeriez ce que vous entendrez. Je ne voudrais pas vous faire peur. -

Oui en effet, il ne voulait pas faire peur à personne, car cela ne changeait rien. Non en effet, il ne voulait pas lui faire peur. Il avait quand même 32 ou 33 ans. Il ne savait plus top. Le chasseur savait très bien que la jeune femme n’avait surement pas son âge à lui.

-Non, je ne suis pas ici pour me trouver quelque chose pour m’occuper l’esprit, néanmoins, je ne serais pas contre si vous l’offrez. -
Lun 31 Aoû - 21:28
Invité
Anonymous
Invité

C'est un fait, Olympe, n'était éventuellement pas prédisposer à appréhender, des histoires, dépassant considérablement le réalisme. Jamais n'avait-elle, seulement souhaité envisager davantage que les déboires déconcertants, du genre humain. Possiblement, était-ce encore, particulièrement suffisant, en ce qui la concerne. La voilà, ignorant la totalité, de l'existence tourmentée du jeune inconnu, possiblement se ferait-elle, distante à la connaissance de son quotidien, ou tout simplement, Rosenbach, userait d'une indifférence déroutante à faire froid dans le dos. Ses agissements, s'avérant d'un individu à l'autre, particulièrement, contradictoires. Après tout, comment pouvait-elle, encore, se permettre de juger autrui, lorsqu'elle-même, ne représentait guère plus -d'un avis général-, qu'une intenable cinglée, aux répliques cinglantes. L'observant tout aussi durement, la blonde tiltait spontanément sur la réplique de son interlocuteur, tentant, de son attitude faussement détachée, d'y déceler, une certaine vulnérabilité, lui permettant ainsi, de structurer à l'avenir, une opinion tangible de l'énigme que viendrait à représenter ce dernier. Un infime haussement d'épaules, suivi tout aussi instantanément d'un bref mouvement de tête, et son regard s'immobilisait vaguement au sol, tant elle préférait éventuellement, esquiver celui de nombreux autres jeunes, à l'esprit trop souvent échauffé par une consommation d’alcool, pour le moins, excessive. Pour ne pas changer, la jeune australienne, s'amuserait naïvement d'une réponse, frôlant le cynisme, tentant hypothétiquement de dissimuler un léger malaise. Relevant lentement les yeux au ciel, son regard un brin confus, se figeait sur sa précédente rencontre, qu'elle lorgnait sèchement à nouveau, sans ne s'en rendre vraiment compte. ─ Quoi, tu es une sorte de psychopathe ? Lançait-elle vivement, distraite, et désespérément inconsciente. N'importe qui, aurait en théorie déserté aussi soudainement que froidement, renonçant à poursuivre la discussion, quant à Olympe, elle se divertissait lamentablement d'une réalité, pas forcément plaisante. ─ Si tu découpes les gens en morceaux, je te l'accorde, je préférai évidemment, ne pas le savoir. Cinglée, vous avez dit ? Complètement, ouais. Rosenbach dans toute sa splendeur. Venait-elle d'omettre, certainement, combien il ne subsistait pas uniquement, des personnes foncièrement logiques, davantage à la sortie d'un club à une heure avancée. Plongeant ses mains dans les poches de son perfecto, la blonde acquiesçait, d'un sourire presque timide, et enfantin à la fois. Une attitude spontanée, contrastant instantanément à ses répliques à l'impudence, presque extrême. ─ Était-ce donc, si terrible que ça ? Vins-t-elle, innocemment ajouter. Contraindre quiconque à lui conter ses difficultés, était de loin, dans ses habitudes, raison pour laquelle, la blonde ne creuserait pas davantage, s'il ne le souhaitait pas réellement. Mordillant légèrement sa lèvre inférieure, ses prunelles finement inquisitrices se détachèrent un moment de ce dernier, mimant dès lors, d'interminables allées-retours, d'un mur à l'autre, se stoppant en définitive, sur trois garces, apparemment éméchées. Le genre de pimbêches l'horripilant de près comme de loin. Néanmoins, la totalité de son attention se reportait aussitôt sur son interlocuteur, qu'elle dévisageait systématiquement, sourire amusé, y compris. Faut dire, que question distraction, ce fut un échec cuisant. Une soirée avachie devant sa télé, n'aurait considérablement, pas pu être pire. Malgré tout, il restait réconfortant, d'y déceler combien, elle n'était dans l'immédiat, pas la seule, à toucher le fond. S'octroyant un court instant propice à la réflexion, la jeune australienne, jetait un hâtif coup d’œil, en direction de l'entrée du club, sourcils froncés, consciente qu'y revenir ne serait, éventuellement, pas plus qu'une vulgaire méprise, cependant, qui serait-elle pour se prononcer, pour deux ? ─ Humm, je pourrai te proposer de rentrer à nouveau dans ce club, et boire jusqu'à omettre, nos médiocres soirées, et cette musique carrément insupportable, qui va avec. Répliquait-elle, tout en accompagnant ses propos d'un infime mouvement en surplace, avant même d'enchainer, sur un ton, particulièrement anodin. ─ Ou bien changer d'endroit, pour quelque chose de plus tranquille, cette fois. Je suis certaine qu'il reste encore des lieux ouverts, malgré l'heure tardive. Inutile de préciser que pour un échange, moins superficiel, les lieux paisibles, s'avéraient les meilleurs. Certes, elle ne savait rien de lui, plus honnêtement, Olympe en ignorait plus que de raison, toutefois, ce dernier, ne dégageait rien de notamment, néfaste. Inversement, si elle ne lui avait pas adressé la parole d'elle-même, pas certaine qu'il se soit aperçu de sa présence. Communiquer, leur permettrait, en retour de meubler le temps. En effet, si Rosenbach n'était pas le stéréotype de personnalités à s’abandonner aux confidences, quelques existences méritaient étrangement qu'on s'y intéresse.  
Mer 16 Sep - 3:55
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Graham Peterson était un chasseur, un bon chasseur et un mauvais chasseur à la fois. On ne pouvait pas dire grand-chose de la manière que le chasseur faisait ses chasses. L’homme était un homme bon et unique. Il avait certaine chose en lui que personne ne pouvait lui enlever. Ce n’était pas comme s’il était un criminel. Notre chasseur était un homme fou et stupide. Oui tous les chasseurs étaient des hommes fou et stupide. Le Peterson était un homme qui avait une mère démone ce qui était un problème parmi tant d’autre. Notre homme n’était pas un homme stupide. Il était un homme bon et n’avait pas besoin de faire grand-chose pour faire sa vie. Aujourd’hui, il était en présence d’une impressionnante jeune femme qu’il appréciait beaucoup dans un sens, mais il ne savait pas trop quoi faire en ce moment. Notre chasseur était dehors en compagnie d’une jeune femme et il se demandait simplement ce qui allait ce passé en cette soirée.

Une sorte de psychopathe ? Oui et non, non parce qu’il n’avait jamais été diagnostiqué un psychopathe, mais oui, car il tuait des gens, beaucoup de gens. Il ne pouvait pas vivre sans tuer des gens. Son métier le demandait. Il était un homme par le passé qui travaillait pour une agence du gouvernement. La CIA en effet, il avait remis sa lettre de sa démission pour finalement protégé ceux et celles qu’il aimait de ses nombreux ennemis. Ennemis, qu’il s’était fait lors de son travail pour la CIA. Ennemis qui ferait tout en leur pouvoir pour l’éliminer lui. Ainsi que lui faire du mal par le fait même d’une jeune femme qui habitait présentement l’Australie en compagnie de sa progéniture. Mais cela était très peu probable selon lui. Il n’avait pas grand-chose à dire en ce moment. Sauf qu’il n’était pas un psychopathe.

-Moi, un psychopathe ? Je ne pense pas.-

Notre homme Peterson se demandait vraiment pourquoi elle lui demandait cela. Notre chasseur lui se demandait aussi que qu’elle venait de dire. Découper des gens en morceaux. Non pas dernièrement, il l’avait pas découpé en morceaux. Notre chasseur était un homme simpliste. Il vivait sa vie bien normale. Sans aucune complication, mais cela était impossible. Très impossible. Mais bon, notre chasseur ne savait pas trop comment discuter.

-Je ne découpe pas des personnes. Ce n’est pas cela la raison. J’ai fait un travail simple et unique que j’ai fait durant trop longtemps. J’ai passé ma vie à servir mon pays et une chose est certaine lorsque l’on sert son pays aussi longtemps que moi certaine chose se produise dans nos vies et les émotions disparaissent peu à peu.-

Notre homme la regardait un moment. Il était quand même un peu stupide à la fois. Terrible ? Oui terrible, il ne savait pas vraiment comment lui répondre. Lui répondre une bonne chose en fait. Il ne voulait pas vraiment lui en parler, mais bon cela était quelque chose. Bon et maintenant, elle proposait quelque chose de magnifique. Rentrer dans ce club ? Non pas vraiment. Quelque chose de plus tranquille était parfait pour monsieur Peterson.

-Quelque chose de plus tranquille serait préférable…-

Mais bon, notre Peterson aimait bien discuter en ce moment.
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